[Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Championnats français et étrangers, compétitions internationales, coupes d'Europe: tout le foot ailleurs!
Séb

La concurrence

Messagepar Séb » 04 nov. 2009, 18:56

L'Italie, la Turquie et une association Suède-Norvège briguent l'organisation de l'Euro 2016, comme la France.
Quatre dossiers rivalisent pour convaincre l'UEFA de lui attribuer l'organisation du 15e Euro de l'histoire. A priori, la France part avec une longueur d'avance. La Turquie est, pour l'heure, demeurée mystérieuse sur ses intentions et la situation de ses stades.
La Suède et la Norvège ont le désavantage de présenter une candidature commune, qui n'a plus vraiment la cote depuis les atermoiements de la Pologne et de l'Ukraine, organisateurs de l'Euro 2012. Les deux pays scandinaves ont d'ores et déjà choisi leurs stades. Il y en aurait cinq en Suède (Göterborg, Helsingborg, Stockholm, Malmö et Salna) et quatre en Norvège (Oslo, Lilleström, Trondheim et Stavenger). Les deux stades des capitales seraient construits ex nihilo.
Enfin, l'Italie apparaît comme la principale rivale. Le 1er octobre, la Fédération italienne a rendu publique la liste des douze stade retenus (Bari, Bologne, Cagliari, Florence, Gênes, Milan, Naples, Palerme, Rome, Turin, Udine et Vérone). Les enceintes feront l'objet de rénovation, sauf Turin, dont le nouveau stade des Alpes doit être inauguré en 2011.

Séb

Le raté 1998

Messagepar Séb » 04 nov. 2009, 18:57

Strasbourg a tourné le dos au Mondial organisé il y a onze ans. Une dizaine de villes n'ont pas vraiment regretté le choix d'accuellir le rendez-vous planétaire.
Si d'aventure la France devait être l'organisatrice de l'Euro 2016, cela doit correspondre à une grande vague de rénovations des stades en France. En la matière, le Mondial 1998 a été perçu comme un échec. C'est peut-être bien le seul relevé à l'heure des bilans.
Aussi, Jean-Pierre Escalettes, le président de la FFF, et Frédéric Thiriez, son homologue de la Ligue, ont-ils situé dans l'éventuel accueil de l'épreuve le moyen d'assurer plus qu'un coup de peinture sur les plus grandes enceintes hexagonales. « Nos stades ne sont pas dignes de ceux du Portugal ou de la Suisse », n'a eu de cesse de souligner le premier lors de sa tournée estivale des villes candidates.
Il reste que la future répartition des matches apparaît essentielle. Les dix stades ayant accueilli les 32 équipes et les 64 matches du Mondial 1998 n'ont pas été logés à la même enseigne. Petit rappel du déroulement de la fête à laquelle Strasbourg a tourné le dos :
Bordeaux 36 500 places, sept matches, un 8e
Lens 41 275 places, six matches, un 8e, un match des Bleus
Lyon 44 000 places, six matches, un quart de finale, un match des Bleus
Marseille 60 000 places, sept matches, un 8e, un quart, un demi, un match des Bleus
Montpellier 35 500 places, six matches, un 8e
Nantes 38 500 places, six matches, un quart
Paris 48 275 places, six matches, un 8e, un match pour la 3e place
St-Denis 80 000 places, neuf matches, un 8e, un quart, un demi, la finale
St-Étienne 36 000 places, six matches, un 8e
Toulouse 36 500 places, cinq matches, un 8e

Séb

Quelle formule ?

Messagepar Séb » 04 nov. 2009, 18:57

e passage de 16 à 24 équipes ne manque pas de susciter quelques interrogations. L'UEFA n'a pas encore tranché quant au déroulement de l'Euro 2016.
Jusqu'en 2012, tout aura été d'une simplicité extrême. Depuis 1996, le championnat d'Europe, organisé tous les quatre ans, réunit 16 équipes réparties au 1er tour dans quatre groupes de quatre. Les deux premiers se qualifient pour les quarts de finale qui ouvrent la phase des éliminations directes jusqu'à la finale.
A 24, la formule s'annonce plus alambiquée. L'UEFA n'a d'ailleurs pas encore tranché sur la formule qui sera en vigueur. Pour passer d'un premier tour à six groupes de quatre, à huit qualifiés, quelques critères assez douteux (les six premiers plus les deux meilleurs 2e) entreraient en vigueur.
L'introduction d'inédits huitièmes de finale constituerait-elle la solution ? Se rapprochant de la formule en vigueur en coupe du monde, elle aurait l'avantage d'offrir huit matches à élimination directe aux différents sites. Elle aurait la faiblesse d'apparenter le premier tour à une mise en route poussive sans guère d'enjeu puisque seul un quart du plateau prendrait la porte à l'issue du 1er tour.

Séb

Le retour de Marcos ?

Messagepar Séb » 04 nov. 2009, 18:59

Image
Marcos, à la lutte avec Sidibé (Sedan), va t-il être relancé par Janin ? (Photo DNA)

TACTIQUE.

- Pascal Janin a procédé à une mise en place tactique hier matin, lors d'une opposition à neuf contre neuf. Du côté des « chasubles blancs » (c'est-à-dire des titulaires potentiels), l'entraîneur alsacien a testé trois solutions offensives.
La première est « classique », avec Gargorov en soutien et Fauvergue en pointe. Janin a ensuite essayé la doublette Gargorov (en soutien) et Marcos (en pointe), avant de mettre un place un 3e binôme, avec Marcos en soutien, associé à Fauvergue en pointe.
Reste à savoir laquelle de ces trois solutions le coach alsacien mettra en pratique vendredi face à Istres et s'il compte réintégrer Marcos dans son groupe, voire dans son onze de base.
Le reste de l'équipe devrait être globalement inchangée, avec des « titulaires » nommés Othon, Pelé, Bellaïd, Abadie, Lacour, Rodrigo, Bezzaz et Ledy.

CORNERS.

- Après la mise en place, Janin a spécifiquement fait travailler les Strasbourgeois sur coups de pieds arrêtés, notamment les corners. Bezzaz s'est chargé de les tirer côté droit et Lacour côté gauche.

ABSENTS.

- Bah, touché au péroné (et suspendu pour le match face à Istres), s'est entraîné seul avec Jean-Claude Thiry. Loïc Damour a participé à l'opposition du côté des remplaçants, mais a écourté sa séance par précaution en raison d'une douleur au tendon du talon.
Stéphane Pichot, pour sa part, n'est toujours pas de retour au sein du groupe et devrait déclarer forfait pour le match de vendredi. « Pour Istres, ça va être très juste. Il a couru, fait des accélérations, mais ce n'est pas encore ça », a indiqué le docteur François Pietra hier.

Ba. Sch.

Séb

« Il manque un peu de tout... »

Messagepar Séb » 04 nov. 2009, 19:01

Après une semaine noire marquée par deux défaites, le Racing reçoit Istres, un promu qui lutte lui aussi pour son maintien en Ligue 2. Selon Steven Pelé, le RCS ne peut avoir qu'un seul objectif : prendre les trois points.

Image
Steven Pelé sait que seule la victoire est envisageable vendredi, face à Istres, un concurrent direct pour le maintien en Ligue 2. (Photo DNA - Michel Frison)

D'accord, Steven Pelé a évolué à Istres. En Ligue 2, puis en Ligue 1, l'espace d'une saison (en 2004-2005), lors de la seule apparition du FC Istres Ouest Provence à ce niveau.
Mais rien ne sert de lui demander plus de détails sur le voisin du grand OM. « A part Dumolin, qui a fait toute sa carrière là-bas, je ne connais plus personne », annonce d'emblée le défenseur central strasbourgeois.

« Complètement à
la ramasse »


De cette équipe sudiste, Steven Pelé se rappelle surtout la magistrale claque prise en coupe de la Ligue, lors du premier match officiel des Strasbourgeois en cette saison 2009-2010.
Revenus de ce 1er tour avec 6 buts dans la besace et des doutes plein la tête, le RCS avait entamé de bien mauvaise manière sa saison. Et a toujours du mal à s'en remettre.
« On était complètement à la ramasse, ils nous en ont mis six et pour un promu, je les trouvais plutôt pas mal. Ensuite, ils ont bien commencé leur championnat et là, je suis étonné de les voir si bas dans le classement », souligne Pelé.
Une chose est en tous cas certaine, avec cette 17e place en L 2 et 13 points au compteur, Istres est le genre d'équipes que le Racing se doit de battre à domicile pour raccrocher enfin le bon wagon. Pas de chance, les Sudistes viennent de se relancer à domicile face à Sedan (victoire 3-1).

« On a manqué
de mouvements,
de décalages... »


« Istres est un concurrent direct pour nous. La seule différence, c'est que pour eux, le maintien était et reste leur seul objectif. Nous, on en avait un autre, mais maintenant, on a le même que les joueurs d'Istres et il faudra prendre les trois points vendredi », poursuit encore Steven Pelé.
Pour lui, pas de secrets : seule une série de victoires pourrait chasser définitivement les démons strasbourgeois. « On avait enchaîné quatre matches pas mal, mais en récoltant seulement six points. Ce n'est pas suffisant », souligne encore Pelé, qui a fait partie des quelques cadres appelés par Pascal Janin pour discuter après la défaite en Lorraine.
« A Metz, le souci était que le gars qui avait le ballon n'avait qu'une seule solution pour la donner, au mieux. On a manqué de mouvements, de décalages... Franchement, on aurait pu jouer encore longtemps sans mettre un but. Que ce soit sur coups de pied arrêtés ou dans le jeu, on n'a jamais été dangereux », analyse le défenseur central.
A ces manques au niveau footballistique s'ajoutent, selon Pelé, un problème de réussite, inhérent aux équipes qui doutent, et un mental quelque peu défaillant.
« La malchance n'explique pas tout, mais quand tu es dans une situation comptable délicate, tout te tombe dessus. Regarde Grenoble, c'est pareil... But contre son camp, expulsions, soucis avec les arbitres, tout s'enchaîne. Et après, mentalement tu t'enfonces », expose-t-il encore.

« On s'est fait gifler »

Et de redonner en exemple la démission collective des Strasbourgeois lors de la deuxième mi-temps face à Tours. « On n'a pas eu les ressources mentales et, après, on est retombé dans nos travers et on s'est fait gifler », ajoute encore Pelé.
Reste que le défenseur central n'a pas forcément de réponse toute faite, ni de solutions miracles pour remettre enfin les troupes alsaciennes dans le bon sens.
« Il manque du caractère, c'est clair, mais si on est dans cette situation, c'est qu'il manque un peu de tout... », tranche Pelé.

Barbara Schuster

Séb

DNA du 05/11/2009 : La vérité selon Gress

Messagepar Séb » 05 nov. 2009, 06:50

Le livre de Gilbert Gress intitulé « Fautes graves, un été d'enfer à la Meinau » sort demain en librairie.
Un livre où l'éphémère entraîneur estival du Racing brandit ses vérités sur cette brève période à la tête de l'équipe. L'occasion, surtout, de solder des comptes.
Premiers visés : les dirigeants du Racing, Philippe Ginestet et Jean-Luc Herzog, que Gress avait déjà largement mis en cause par voie de presse au lendemain de la défaite face à Châteauroux lors de la première journée.
Gress a réservé ses autres flèches aux journalistes, cible habituelle quand tout va mal. Un chapitre entier est consacré aux articles publiés par la rédaction des sports des DNA. Personne n'y est épargné, moyennant plusieurs contrevérités.
Un autre chapitre, consacré à son licenciement, revient sur l'incident qui a eu lieu à la Meinau lors du dernier entraînement dirigé par Gress le lundi 10 août. Incident que nous avions relaté aussitôt, où nous soulignions que l'une de nos journalistes avait été sèchement prise à partie par l'entraîneur pour des articles qui n'avaient pourtant rien d'insultants.
Le lendemain, la rédaction des sports avait réagi à cette agression verbale sans fondement, dénonçant la pratique consistant à mettre en cause des journalistes qui avaient juste eu le tort de prédire un départ qui n'a effectivement pas tardé.
Gilbert Gress dit avoir encaissé des « attaques et des calomnies incessantes » venues de la presse. Il se dit blessé. Soit. Mais notre rédaction l'est aussi par la violence de ses propos. Il est inadmissible de traiter les journalistes de « hyènes affamées ». D'autant plus que quand Gress se met à insulter une journaliste, il considère qu'il « n'y a pas de quoi fouetter un chat ». Drôle de façon de voir les choses.
Gilbert Gress avait une belle cote d'amour. En menant le Racing à son seul titre de champion de France, en 1979, il a fait rêver toute une génération d'Alsaciens. Mais son attitude lors de sa dernière sortie en public est indigne de sa réputation, tout comme le sont plusieurs pages de ce livre qui n'est au fond qu'un plaidoyer pro domo.
Ces passages prouvent surtout qu'on peut avoir été un grand entraîneur et manquer fâcheusement de discernement. Accuser la presse est la façon la plus banale qu'a trouvée Gress pour se sortir du piège où il s'était lui même enfermé.

Christine Lapp

Séb

DNA du 05/11/2009 : Le cousin Romain

Messagepar Séb » 05 nov. 2009, 06:52

Romain Ciaravino, milieu de terrain âgé de 25 ans qui évolue au FC Istres, parle des ambitions de son club à la veille du déplacement à Strasbourg. Et revient sur le début du saison en dents de scie du promu sudiste.

Image
Romain Ciaravino - ici après son but inscrit lors de la première journée à Bastia - craint une réaction d'orgueil des Strasbourgeois, vendredi soir, à la Meinau. (Photo FC Istres)

A 25 ans, Romain Ciaravino croque sa première année pro à pleines dents. Ce milieu de terrain offensif, qui a été l'un des artisans de la remontée du FC Istres de National en Ligue 2, savoure plus que quiconque cette saison 2009/2010.
« Le championnat National, c'est un combat de petits villages, expose-t-il. Là, on joue dans des grands stades, devant un nombreux public. Franchement, il y autant de différences entre le National et la Ligue 2, qu'entre la Ligue 2 et la Ligue 1 ».

Julie Bayol sera
dans les tribunes


Le FC Istres l'a d'ailleurs appris à ses dépens. Car après une belle entame de championnat, marquée par une victoire à Bastia - avec un buteur nommé... Ciaravino -, les Sudistes sont rentrés dans le rang. Avec comme point noir cette lourde défaite (5-0) à Nantes qui a rapidement fait redescendre les Istréens sur terre.
Leur victoire, vendredi dernier, face à Sedan, a toutefois permis au groupe mené par Henri Stambouli de respirer à nouveau, après trois défaites consécutives (à Angers, face à Ajaccio et à Clermont).
« Tout le monde attendait une réaction après ces trois défaites et on l'a fait de la meilleure manière en marquant trois buts à la maison », souligne le milieu de terrain, dont le papa, Michel, a joué dans les années 70 aux côtés d'un certain Platini, à Nancy.
Mais si cette victoire a donné un bol d'air aux Provençaux, les coéquipiers de Ciaravino restent toujours à portée de fusil de la zone de relégation.
« On veut confirmer à Strasbourg... Face à Sedan, on a montré plus d'envie, l'équipe était plus compacte, il y avait un meilleur équilibre général », analyse Ciaravino, qui compte sur cet « esprit conquérant » pour pousser son équipe à la Meinau.
Reste que le joueur se méfie des Strasbourgeois, malgré la leçon de football assénée par le promu en Coupe de la Ligue, avec une victoire 6-1.
« Ce n'est pas la même équipe, balaye immédiatement le joueur. Strasbourg a changé d'entraîneur, les joueurs ne sont pas tous les mêmes. Et nous, on était dans l'euphorie de la montée, c'était notre premier match ».
Et d'ajouter, méfiant : « Que Strasbourg soit dernier ne veut rien dire. Ça peut aller très vite, le bas du classement est très serré ».
Romain Ciaravino estime même que les difficultés strasbourgeoises peuvent se révéler être... un handicap pour le FC Istres.
« Comme l'équipe ne marche pas bien, il y a beaucoup de changements et on ne sait jamais quelle équipe de Strasbourg on va avoir en face. Et des joueurs comme Fauvergue ou Pichot ont quand même un vrai vécu L 1 », ajoute encore le Provençal, qui craint aussi « une réaction d'orgueil ».
Reste que de l'orgueil, Romain Ciaravino en possède aussi un paquet, surtout qu'il va jouer vendredi soir devant « la famille », comme il le dit lui-même. Une « famille » alsacienne incarnée par sa cousine, Julie Bayol, l'attaquante du FC Vendenheim - et finaliste de l'Euro 98 avec les « 18 ans » de l'équipe de France - qui sera dans les tribunes pour le soutenir.
« Un plaisir » et une motivation supplémentaire pour le milieu qui annonce d'ores et déjà la couleur : « Quand on démarre un match, c'est toujours pour gagner que ce soit Strasbourg, Caen, ou n'importe où ». Le Racing est prévenu...

Barbara Schuster

Séb

Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar Séb » 05 nov. 2009, 06:52

Tactique toujours

Pascal Janin a remis le couvert, tactiquement parlant, lors de la séance d'hier matin. Avec, cette fois, un groupe plus réduit que la veille, qui a travaillé les attaques placées. Côté « titulaires », peu de surprises, avec les présences d'Abadie à droite, de Bellaïd et Pelé dans l'axe, d'Othon à gauche, de Lacour, Gargorov, Rodrigo et Bezzaz au milieu, associés à Ledy et Fauvergue devant. A noter aussi, le retour de Jean-Alain Fanchone - qui avait été écarté du groupe - en tant que sparring-partner face au « onze » titulaire, aux côtés de Damour, Maire, Brahmia ou Zenke. Pas de Marcos, en revanche, le Brésilien, testé par Janin mardi matin au sein du collectif, a de nouveau été relégué sur le terrain annexe. Il a participé au travail devant le but en compagnie, entre autres, de Dedola, Gasmi, Sikimic, N'Djama... sous la direction d'Alex Vencel.

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Re: DNA du 05/11/2009 : La vérité selon Gress

Messagepar DCD » 05 nov. 2009, 08:40

Séb a écrit :Le livre de Gilbert Gress intitulé « Fautes graves, un été d'enfer à la Meinau » sort demain en librairie.
Un livre où l'éphémère entraîneur estival du Racing brandit ses vérités sur cette brève période à la tête de l'équipe. L'occasion, surtout, de solder des comptes.
Il va encore accuser les autres :mrgreen:

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Bosoleclown
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Re: DNA du 05/11/2009 : La vérité selon Gress

Messagepar Bosoleclown » 05 nov. 2009, 17:06

DCD a écrit :
Séb a écrit :Le livre de Gilbert Gress intitulé « Fautes graves, un été d'enfer à la Meinau » sort demain en librairie.
Un livre où l'éphémère entraîneur estival du Racing brandit ses vérités sur cette brève période à la tête de l'équipe. L'occasion, surtout, de solder des comptes.
Il va encore accuser les autres :mrgreen:
Non mais moi il me fait halluciner ce mec. Quand tout va bien c'est grâce à lui quand tout va mal c'est la faute des autres...

A l'époque de son départ de Metz il avait traité Carlo Molinari de plus grand plouc de la terre, je pense que le plouc c'est lui. Et de loin. Vu la façon qu'il a d'asséner SES vérités, qui sont souvent des contre vérités...


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