Ok ! Démarrons le bien alors. Perso, je n'attends que cela.raphael5477 a écrit :ben ac ne peut pas faire de miracles il fait avec les moyens du bord et rien ne dit que l'on ne sera pas bon, il suffit de bien démarrer le championnat pour que la confiance soit au rendez vous.
R.L. 26/07 : Metz manque de rigueur
- PascalB
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Re: R.L. 26/07 : Metz manque de rigueur
- Loloavelo
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- Localisation : pas loin du panneau
Re: R.L. 26/07 : Metz manque de rigueur
Merci jibay 54 de rétablir une vérité
Que tout le monde en prenne note parce qu'à force on va finir par croire qu'à lui seul, il a coulé le club début 2000.
D"autre part et avec tout le RESPECT qui doit lui être du, c'était bien C MOLINARI qui a accepté de signer les nouveaux contrats des leaders de l'époque (Meyrieu,....) à la demande d'A.CARTIER, c'est sur mais il était le responsable en tant que président.
Personnellement le côté responsable mais pas coupable m'est toujours resté en travers de la gorge
Que tout le monde en prenne note parce qu'à force on va finir par croire qu'à lui seul, il a coulé le club début 2000.
D"autre part et avec tout le RESPECT qui doit lui être du, c'était bien C MOLINARI qui a accepté de signer les nouveaux contrats des leaders de l'époque (Meyrieu,....) à la demande d'A.CARTIER, c'est sur mais il était le responsable en tant que président.
Personnellement le côté responsable mais pas coupable m'est toujours resté en travers de la gorge
- Bel Jéthucine
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Re: R.L. 26/07 : Metz manque de rigueur
Euh... le 16e n'est pas relégablejibay54 a écrit : Quand AC récupère le club en 2000-2001, Metz est relégable (5V7N9D) 16eme, 22pts, 21 journées. On finira la saison 12 avec 42pts (et surtout 6eme sur la phase retour)
En 2001-2002. Cartier est licencié après la 21ème journée. Le club est 16eme, premier non-relégable, avec 17pts (5V2N11D) et finira la saison 17eme, relégable avec 33pts.
Donc si je récapitule. AC maintien le club pour sa première saison, et est viré avant d'être relégable !

Ce qu'on remarque, c'est qu'il a laissé le club dans un plus mauvais état qu'il ne l'a trouvé, puisqu'il arrive après 21 journées où on a 22 points, et il repart après 21 journées où on en a 17, ce qui est un total très (très) faible, et qui laisse très peu d'espoir d'arriver aux fameux 42 points...
En 2001-2002, pour la première fois de ma vie, je me suis dit qu'un entraîneur pouvait changer le visage d'une équipe : avec les mêmes joueurs, on était épouvantables pendant une demi-saison, et très séduisants après. Au moins, on est tombés avec les honneurs (et à peu de choses près : le scandale du match contre Sedan avec les deux buts refusés à Adebayor - et la mort d'une crise cardiaque d'un supp' en tribune Nord... -, et la boulette de Toyes au dernier match).
Mais bon, c'est du passé, et AC s'est bien rattrapé depuis lors

- get_up_kids
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- Inscription : 27 août 2009, 08:18
- Localisation : Entre Metz et Thionville
Re: R.L. 26/07 : Metz manque de rigueur
Sauf qu'à l'époque il n'y avait que 18 clubs en L1 et 3 relégables, donc si le 16ème était bien relégable quand Cartier a repris le club.Bel Jéthucine a écrit :Euh... le 16e n'est pas relégablejibay54 a écrit : Quand AC récupère le club en 2000-2001, Metz est relégable (5V7N9D) 16eme, 22pts, 21 journées. On finira la saison 12 avec 42pts (et surtout 6eme sur la phase retour)
En 2001-2002. Cartier est licencié après la 21ème journée. Le club est 16eme, premier non-relégable, avec 17pts (5V2N11D) et finira la saison 17eme, relégable avec 33pts.
Donc si je récapitule. AC maintien le club pour sa première saison, et est viré avant d'être relégable !![]()
Ce qu'on remarque, c'est qu'il a laissé le club dans un plus mauvais état qu'il ne l'a trouvé, puisqu'il arrive après 21 journées où on a 22 points, et il repart après 21 journées où on en a 17, ce qui est un total très (très) faible, et qui laisse très peu d'espoir d'arriver aux fameux 42 points...
Par contre l'année suivante, il n'y avait plus que 2 relégables car on repassait à 20 clubs la saison d'après.
Donc quand il part on est 16ème et non relégable....
On peut donc dire qu'il laisse le club à une meilleure place quand il part que quand il arrive du coup!

- Bosoleclown
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Re: R.L. 26/07 : Metz manque de rigueur
T'es sérieux là ?Fox a écrit :Cartier il a déjà montré ce qu'il valait en L1 de toute façon, et c'est pas joli

- Bosoleclown
- Messages : 5460
- Inscription : 26 août 2009, 22:33
Re: R.L. 26/07 : Metz manque de rigueur
J'adhère à 100%.Loloavelo a écrit :Merci jibay 54 de rétablir une vérité
Que tout le monde en prenne note parce qu'à force on va finir par croire qu'à lui seul, il a coulé le club début 2000.
D"autre part et avec tout le RESPECT qui doit lui être du, c'était bien C MOLINARI qui a accepté de signer les nouveaux contrats des leaders de l'époque (Meyrieu,....) à la demande d'A.CARTIER, c'est sur mais il était le responsable en tant que président.
Personnellement le côté responsable mais pas coupable m'est toujours resté en travers de la gorge
- Bosoleclown
- Messages : 5460
- Inscription : 26 août 2009, 22:33
Re: R.L. 26/07 : Metz manque de rigueur
Ah je me disais aussiFox a écrit :Je deviens bon au troll, je suis fier de moi

- jibay54
- Messages : 1654
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- Localisation : Metz
Re: R.L. 26/07 : Metz manque de rigueur
C'est vrai que venant de ta part, j'aurais pu m'en douter .. Mais comme ça, ça servira de réponse à tout les mauvaises langues !Fox a écrit :Je deviens bon au troll, je suis fier de moi

- Amos
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Re: R.L. 26/07 : Metz manque de rigueur
Vous avez dit rigueur ?
Dans un France foot de mai 2002:
...Razurel : « Sous ses dehors sympas, le président sait aussi trancher et se montrer intraitable.
Contrairement à ce que certains pensent , je ne suis pas le coupeur de têtes du club, et lui
n’est pas non plus le gentil monsieur qui dit oui à tout … » Brouillés l’espace de quelques semaines
lors du renvoi chahuté de Joël Muller voilà un an - au point que le bras droit, accusé d'en être l'instigateur,
offrit, sa démission à son supérieur -, les deux hommes finissent toutefois toujours par se rejoindre.
Comme en début de saison, lorsqu'ils décidèrent, avec le reste du conseil d'administration, de lâcher
du lest à Albert Cartier. Longtemps rétif à toute opération de dépenses massives, le président Molinari,
sans doute rasséréné par la bonne fin de saison 2000-01 des troupes de Cartier (agrémentée par le doublé
inédit des jeunes : champions de France des 17 ans et vainqueurs de la Coupe Gambardella), s'est ainsi
laissé convaincre par son nouvel entraîneur de délier sa bourse au-delà du raisonnable.
« Je ne sais pas encore comment il s'y est pris, mais Albert a réussi à me faire changer mon approche
l'été dernier. Si, jusqu'alors, je me refusais à spéculer sur les résultats à venir pour investir au-delà de
mes moyens, là, je reconnais que j'ai cédé. Je me suis dit tout d'un coup : " Et si c'était lui finalement qui
avait raison? Et si c'était la solution pour repartir ? " » Résultat : le renouvellement des contrats de Régis,
Meyrieu et Baticle - réclamé par le coach d'alors pour stabiliser l'effectif - ainsi que les contrats de deux ans
proposés à plusieurs jeunes du groupe - Cartier avait toutefois demandé des périodes de quatre ans
- entraînent de facto une augmentation de la masse salariale de 30 %, au point que celle-ci représente
pratiquement 80 % du budget, au lieu des 65 % habituels. Conscient des risques encourus, Molinari prévient alors son entraîneur sur le ton de la boutade : « Albert, tu es en train de me faire acheter une Ferrari alors que je ne suis qu'un smicard! », S'il enrobe son adhésion de quelques réserves - il maintient, par exemple, Cartier dans un statut d'adjoint,
sans doute pour éviter d'avoir à régler de trop grosses indemnités en cas de faillite du projet-, Carlo Molinari
se lance dans l'aventure. Car le président est finalement convaincu par le long exposé de Cartier, époustouflant
de persuasion lors de la présentation de son projet l'été dernier devant les membres, charmés, du conseil.
« Cette équipe va gagner quelque chose. Je ne peux pas dire quoi, mais j'en suis sûr : une Coupe de France,
une Coupe de la Ligue, une place européenne. » « Il ne m'a pas dit qu'on allait être champion, se flagellerait
presque Carlo Molinari, mais c'était moins deux! Finalement, nous n'avons jamais été aussi dépensiers, mais
nous avons surtout manqué de modestie l'espace de quelques instants. On a abandonné notre bon sens durant
quelques moments, en voulant jouer les beaux et en visant trop haut. Voilà où cela nous a menés... »
Avec cette manœuvre, qui ressemblait beaucoup à une opération de la dernière chance, le FCM n'a fait qu'accentuer
son malaise. Le sauvetage s'est transformé en naufrage, mettant notamment en péril les caisses du club.
Une dérive financière - débouchant sur un trou de trésorerie de quelque 6 M€ pour l'instant - accentuée par
l'indigence des recettes provenant des transferts, puisque aucun joueur n'a pu être cédé depuis Letizi,
voilà dix-huit mois maintenant. Sans compter que le club s'échine actuellement à trouver une solution à
l'amiable et à moindre frais avec Cartier, toujours salarié du club pour encore trois ans et demi...
CARTIER PERD LE CONTRÔLE DES TROUPES. Malheureusement pour le FCM, les difficultés ne se limitent pas au bilan économique. Côté disciplinaire, quelques égarements sont venus ces derniers temps ternir la bonne image du club.
Comme si une autre époque, avec ses nouvelles (mauvaises) manières, apparaissait du côté de Saint-Symphorien.
Dans son désir marqué de rompre avec les méthodes de son prédécesseur, Albert Cartier, qui n'a pas souhaité
s'exprimer sur le sujet, a relâché la discipline avec ses joueurs en tentant le pari de la responsabilisation
et de la permissivité. « C'est évident que certains, des jeunes surtout, ont profité de la situation, admet Meyrieu.
Ils ont cru que cet entraîneur-copain allait tout leur laisser passer, Tout le monde n' a pas été très responsable
sur ce coup-là. » Résultat. : quelques dérives comportementales sont venues parasiter la vie du groupe.
Comme les écarts du jeune Espartero (prêté depuis à Bolton), talentueux cabochard admettant de plus en plus
difficilement son statut de remplaçant, et qui finit même un jour sur le bord d'une route, abandonné par un
des médecins du club lassé des nombreuses réflexions déplacées proférées par le petit caïd au retour d'une radio.
Un épisode tragi-comique qui traduit un peu l'ambiance délitée, si loin de l'atmosphère ouatée réclamée par
le président Molinari, celui-là même qui avait - vainement - demandé à Meyrieu de se couper les cheveux
avant son arrivée en Lorraine afin de ne pas donner un « mauvais genre » à son équipe !
Dans un France foot de mai 2002:
...Razurel : « Sous ses dehors sympas, le président sait aussi trancher et se montrer intraitable.
Contrairement à ce que certains pensent , je ne suis pas le coupeur de têtes du club, et lui
n’est pas non plus le gentil monsieur qui dit oui à tout … » Brouillés l’espace de quelques semaines
lors du renvoi chahuté de Joël Muller voilà un an - au point que le bras droit, accusé d'en être l'instigateur,
offrit, sa démission à son supérieur -, les deux hommes finissent toutefois toujours par se rejoindre.
Comme en début de saison, lorsqu'ils décidèrent, avec le reste du conseil d'administration, de lâcher
du lest à Albert Cartier. Longtemps rétif à toute opération de dépenses massives, le président Molinari,
sans doute rasséréné par la bonne fin de saison 2000-01 des troupes de Cartier (agrémentée par le doublé
inédit des jeunes : champions de France des 17 ans et vainqueurs de la Coupe Gambardella), s'est ainsi
laissé convaincre par son nouvel entraîneur de délier sa bourse au-delà du raisonnable.
« Je ne sais pas encore comment il s'y est pris, mais Albert a réussi à me faire changer mon approche
l'été dernier. Si, jusqu'alors, je me refusais à spéculer sur les résultats à venir pour investir au-delà de
mes moyens, là, je reconnais que j'ai cédé. Je me suis dit tout d'un coup : " Et si c'était lui finalement qui
avait raison? Et si c'était la solution pour repartir ? " » Résultat : le renouvellement des contrats de Régis,
Meyrieu et Baticle - réclamé par le coach d'alors pour stabiliser l'effectif - ainsi que les contrats de deux ans
proposés à plusieurs jeunes du groupe - Cartier avait toutefois demandé des périodes de quatre ans
- entraînent de facto une augmentation de la masse salariale de 30 %, au point que celle-ci représente
pratiquement 80 % du budget, au lieu des 65 % habituels. Conscient des risques encourus, Molinari prévient alors son entraîneur sur le ton de la boutade : « Albert, tu es en train de me faire acheter une Ferrari alors que je ne suis qu'un smicard! », S'il enrobe son adhésion de quelques réserves - il maintient, par exemple, Cartier dans un statut d'adjoint,
sans doute pour éviter d'avoir à régler de trop grosses indemnités en cas de faillite du projet-, Carlo Molinari
se lance dans l'aventure. Car le président est finalement convaincu par le long exposé de Cartier, époustouflant
de persuasion lors de la présentation de son projet l'été dernier devant les membres, charmés, du conseil.
« Cette équipe va gagner quelque chose. Je ne peux pas dire quoi, mais j'en suis sûr : une Coupe de France,
une Coupe de la Ligue, une place européenne. » « Il ne m'a pas dit qu'on allait être champion, se flagellerait
presque Carlo Molinari, mais c'était moins deux! Finalement, nous n'avons jamais été aussi dépensiers, mais
nous avons surtout manqué de modestie l'espace de quelques instants. On a abandonné notre bon sens durant
quelques moments, en voulant jouer les beaux et en visant trop haut. Voilà où cela nous a menés... »
Avec cette manœuvre, qui ressemblait beaucoup à une opération de la dernière chance, le FCM n'a fait qu'accentuer
son malaise. Le sauvetage s'est transformé en naufrage, mettant notamment en péril les caisses du club.
Une dérive financière - débouchant sur un trou de trésorerie de quelque 6 M€ pour l'instant - accentuée par
l'indigence des recettes provenant des transferts, puisque aucun joueur n'a pu être cédé depuis Letizi,
voilà dix-huit mois maintenant. Sans compter que le club s'échine actuellement à trouver une solution à
l'amiable et à moindre frais avec Cartier, toujours salarié du club pour encore trois ans et demi...
CARTIER PERD LE CONTRÔLE DES TROUPES. Malheureusement pour le FCM, les difficultés ne se limitent pas au bilan économique. Côté disciplinaire, quelques égarements sont venus ces derniers temps ternir la bonne image du club.
Comme si une autre époque, avec ses nouvelles (mauvaises) manières, apparaissait du côté de Saint-Symphorien.
Dans son désir marqué de rompre avec les méthodes de son prédécesseur, Albert Cartier, qui n'a pas souhaité
s'exprimer sur le sujet, a relâché la discipline avec ses joueurs en tentant le pari de la responsabilisation
et de la permissivité. « C'est évident que certains, des jeunes surtout, ont profité de la situation, admet Meyrieu.
Ils ont cru que cet entraîneur-copain allait tout leur laisser passer, Tout le monde n' a pas été très responsable
sur ce coup-là. » Résultat. : quelques dérives comportementales sont venues parasiter la vie du groupe.
Comme les écarts du jeune Espartero (prêté depuis à Bolton), talentueux cabochard admettant de plus en plus
difficilement son statut de remplaçant, et qui finit même un jour sur le bord d'une route, abandonné par un
des médecins du club lassé des nombreuses réflexions déplacées proférées par le petit caïd au retour d'une radio.
Un épisode tragi-comique qui traduit un peu l'ambiance délitée, si loin de l'atmosphère ouatée réclamée par
le président Molinari, celui-là même qui avait - vainement - demandé à Meyrieu de se couper les cheveux
avant son arrivée en Lorraine afin de ne pas donner un « mauvais genre » à son équipe !
- markov
- Messages : 149
- Inscription : 22 févr. 2014, 20:48
Re: R.L. 26/07 : Metz manque de rigueur
[quote="Fox"]Cartier il a déjà montré ce qu'il valait en L1 de toute façon, et c'est pas joli[/quote
tu m'as fait peur
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