Quitte à titiller la barbichette d'ambroisepare et ses analyses chirurgicales que je trouve souvent fort à propos, j'ai beaucoup plus de mal à adhérer cette fois-ci à son dernier écrit.
Chirurgien des champs de bataille que tu es, tu n'as pas hésité à établir un diagnostic que je trouve un peu manichéen. La fin de journée arrivant, je ne pousserai pas à rentrer dans les joutes oratoires qui viennent de naître et qui me font plus penser à une logorrhée qu'à autre chose.
Je trouve que certains de tes mots ("pignoufs" par exemple), voire de tes idées (imaginer que Nsor, ou coNSORts d'ailleurs, viennent lire le forum... hihihi) ne sont pas à la hauteur de la belle maîtrise des lettres que tu fais généralement.
Bref je pense que pour le coup, mon cher ambroisepare, tu n'aurais pas dû aujourd'hui suspendre tes voyages pour te consacrer à la rédaction de ce post (ouvrage).
Je pense que, tout comme nous, l'émotion d'une issue terrible t'envahit jour après jour et que tu te laisses submerger par une certaine forme d'émotion. Bien compréhensible. Je la partage.
PS : Le débat sur le latin et le grec me fascine concernant ambroisepare lorsque l'on sait que celui-ci était autodidacte et ne maîtrisaît... ni l'un ni l'autre.
