Lorange a écrit :stepslo a écrit :
Pas faux, mais comme on est dans le culte de la personnalité amplifiée par la pub et le marketing, pas étonnant que certains joueurs soient si "starisés" et surpayés...
Je ne suis pas si choqué que des gens soient bien/très bien/sur-payés : on ne refera pas le monde et même si les revenu de certains footeux sont bien proche de l'indécence, c'est un autre débat.
En revanche qu'une activité qui rémunère autant ses acteurs soit :
- Incapable (sur le déclaratif en tous cas...) de produire du bénéfice mais ne fasse que s'endetter.
- En demande constante de subventions publiques (en France en tous cas) - pour indirectement au final ? - permettre à de jeunes kékés à peine scolarisés de bâtir des empires, à des chaînes de télé de produire du spectacle, ça, j'avoue que ça me dépasse complètement. (Remarque, le monde de la culture n'est pas mal non plus...)
Demandez aux habitants du Mans, il sont ravis de leur joli stade de foot. Tiens, juste pour se marrer, l'arène prévoyait une centaine de manifestations annuelles. Pour avril c'était ça :
http://www.mmarena.com/ca-sest-passe-au ... -aux-oeufs
Et pour juin ce sera ça :
http://www.mmarena.com/programmation/41 ... -the-voice
En juillet, une date : visite guidé du stade...Allez, dites-moi que ça vous fait rêver...
Tu sais Lorange, tu pointes un point vraiment politique : Dépenser du pognon pour quelque chose de pas rentable.
Prenons un exemple similaire, la presse, dirigée en très grande partie par des "fortunes", n'est pas rentable et ne survit qu'à travers un subventionnement public mais là bizarrement ça choque moins. Donc la question qui se pose réellement, quel est l'objectif de financer à fond perdu une activité de divertissement (def :Le terme divertissement est d'origine latine, il est apparu en Europe à la fin du XVe siècle. Il désignait alors l'action financière de détourner à son propre profit, ou distraire, une part de l'héritage. Par la suite, cette définition a été reprise pour l'appliquer à l'action de détourner l'essentiel en général et, par extension, à ce qui détourne quelqu'un de l'essentiel.).
Oh la la la vie en rose
Le rose qu'on nous propose
D'avoir les quantités d'choses
Qui donnent envie d'autre chose
Aïe, on nous fait croire
Que le bonheur c'est d'avoir
De l'avoir plein nos armoires
Dérisions de nous dérisoires car
Foule sentimentale
On a soif d'idéal
Attirée par les étoiles, les voiles
Que des choses pas commerciales
Foule sentimentale
Il faut voir comme on nous parle
Comme on nous parle
Il se dégage
De ces cartons d'emballage
Des gens lavés, hors d'usage
Et tristes et sans aucun avantage
On nous inflige
Des désirs qui nous affligent
On nous prend faut pas déconner dès qu'on est né
Pour des C*** alors qu'on est
Des
Foules sentimentales
Avec soif d'idéal
Attirées par les étoiles, les voiles
Que des choses pas commerciales
Foule sentimentale
Il faut voir comme on nous parle
Comme on nous parle
On nous Claudia Schieffer
On nous Paul-Loup-Sulitzer
Oh le mal qu'on peut nous faire
Et qui ravagea la moukère
Du ciel dévale
Un désir qui nous emballe
Pour demain nos enfants pâles
Un mieux, un rêve, un cheval
Foule sentimentale
On a soif d'idéal
Attirée par les étoiles, les voiles
Que des choses pas commerciales
Foule sentimentale
Il faut voir comme on nous parle
Comme on nous parle