Gadjo45 a écrit :
T'es grave sérieux! Et quoi si un joueur dans le futur à la tourista à cause d'un plat pas frais au resto, ou si un mec choppe la crève à cause d'un rhume qu'à refiler un ami, si un joueur se tord la cheville parce son chien à trop tirer la laisse.
Tu vas à chaque fois faire une plainte collective pour des dommages et intérêt? Tu as perdu toute crédibilité là! Alors arrêter d'être ridicule...
Je perd de la crédibilité, je suis ridicule... Tu ferais bien de réfléchir et ne pas mélanger les torchons et les serviettes.
Le match n'a pas été interrompu à cause de la grêle ou de la neige ou du brouillard.
Il a été interrompu suite à un délit commis par une personne en tribune.
La personne qui commet un délit est responsable des dégâts provoqués par son délit. Point.
C'est à lui de payer.
Je trouve que cela se tient, y compris juridiquement.
J'espère qu'il a une bonne assurance responsabilité civile... c'est peut être elle qui peut rembourser tout le stade.
Ensuite, comme d'habitude, la tactique pour faire les malheureux, c'est de tout mélanger pour noyer le poisson.
Si Anthony Lopes est blessé sur un contact dans la surface au cours d'un match par un joueur, que ce soit Milan ou un autre, cela fait partie du football, des risques du football. Et le penalty raté de Lacazette sera peut être une cause sportive d'une non qualification de Lyon, mais là encore, c'est dans le cadre de leur travail de footballeurs.
Par contre je maintiens, si pour une raison ou l'autre on voyait demain que ce qui est arrivé à Lopes à St Symphorien a un impact tangible, j'en suis désolé... ça se discute.
A moins de considérer que prendre un pétard dans les oreilles fait partie du risque du métier...
Dans les faits, pour les billets, les spectateurs demandent que ce soit le FC Metz qui rembourse, et le FC Metz se retourne ensuite contre les jeteurs de pétards.
Et dans le cas de Lyon, Lyon se retourne contre Metz qui se retourne contre... les jeteurs de pétards.
Ce serait à terme beaucoup plus efficace et dissuasif envers les tous autres qu'une interdiction de stade pour ces pauvres petits bouts de choux malheureux.