L'équipe du jour: Metz a la tremblotte

[Billou Grenat]

Metz

a la tremblote


Rejoints à la troisième place par Arles-Avignon après six matches sans victoire, les Mosellans n’ont plus aucune marge.


METZ –

de notre envoyé spécial


À L’ARRÊT DEPUIS LE 1er MARS et sa victoire sur Le Havre (2-0), Metz voit revenir le spectre de sa fin de saison passée où, malgré cinq points d’avance sur Boulogne au soir de la 31e journée, il avait laissé passer l’ascenseur pour la L 1. Le nul concédé contre Sedan (1-1) vendredi soir, au bout du temps additionnel (90e + 2) et après une rencontre mal maîtrisée, donne un relief inquiétant à la série messine en cours : six matches sans le moindre succès (cinq nuls, une défaite). Dans le même temps, Arles-Avignon en a profité pour revenir à hauteur, seulement devancé par une différence de buts moins favorable (+ 4 contre + 5). Le duel entre les deux équipes, le 23 avril, s’annonce capital. « On a pris un coup sur la tête, réagissait hier Carlo Molinari, le vice-président messin. Mais l’essentiel c’est de digérer. Jusqu’à présent, on a limité les dégâts, même si Arles-Avignon revient. Je reste confiant, on ne va pas lâcher. On va tout faire pour que cela ne se conclue pas de la même manière (que la saison passée). »

Vendredi soir, après le match, quelques dizaines de supporters sont venus bloquer la grille du parking des joueurs en demandant la démission d’Yvon Pouliquen, puis se sont dispersés après l’intervention de Joël Muller, le directeur technique du club. Contesté par ces quelques éléments, l’entraîneur messin est-il menacé ? « À titre personnel, cela ne me paraît pas raisonnable, repousse Molinari. Ce n’est pas l’entraîneur qui prend un but à la 92e minute. Il ne faut pas s’attarder là-dessus et se serrer les coudes. » Bernard Serin, le président du club, injoignable hier, était déjà intervenu dans le vestiaire il y a deux semaines. Sans effet visible puisque Metz avait concédé un nul contre Châteauroux (0-0) le vendredi suivant. Les joueurs, eux, cherchent une explication. « On est passés à côté de notre seconde période, admet Christophe Marichez. On a trop reculé, on a trop balancé. Il faut vite se remettre en question, notre marge de manœuvre est nulle. » – L. D.

Ce n'est pas l'entraîneur qui prend un but à la 92 ème mais il me semble tout de même que c'est l'entraîneur qui propose un coaching nullissime non ?

[Le Grand Jules]

Je vois désormais un duo / trio pour assister Pouliquen de type Muller-Pouliquen-une vieille gloire afin d'adopter une mentalité commando pour les 6 derniers matches...
Serin va certainement instaurer un changement même si Pouliquen finira sur le banc la fin de saison...
Il n'y a pas de solution externe (pas de temps à perdre dans des présentations, prises de contact, etc...).

[Namien]

Metz

a la tremblote


Rejoints à la troisième place par Arles-Avignon après six matches sans victoire, les Mosellans n’ont plus aucune marge.


METZ –

de notre envoyé spécial


À L’ARRÊT DEPUIS LE 1er MARS et sa victoire sur Le Havre (2-0), Metz voit revenir le spectre de sa fin de saison passée où, malgré cinq points d’avance sur Boulogne au soir de la 31e journée, il avait laissé passer l’ascenseur pour la L 1. Le nul concédé contre Sedan (1-1) vendredi soir, au bout du temps additionnel (90e + 2) et après une rencontre mal maîtrisée, donne un relief inquiétant à la série messine en cours : six matches sans le moindre succès (cinq nuls, une défaite). Dans le même temps, Arles-Avignon en a profité pour revenir à hauteur, seulement devancé par une différence de buts moins favorable (+ 4 contre + 5). Le duel entre les deux équipes, le 23 avril, s’annonce capital. « On a pris un coup sur la tête, réagissait hier Carlo Molinari, le vice-président messin. Mais l’essentiel c’est de digérer. Jusqu’à présent, on a limité les dégâts, même si Arles-Avignon revient. Je reste confiant, on ne va pas lâcher. On va tout faire pour que cela ne se conclue pas de la même manière (que la saison passée). »

Vendredi soir, après le match, quelques dizaines de supporters sont venus bloquer la grille du parking des joueurs en demandant la démission d’Yvon Pouliquen, puis se sont dispersés après l’intervention de Joël Muller, le directeur technique du club. Contesté par ces quelques éléments, l’entraîneur messin est-il menacé ? « À titre personnel, cela ne me paraît pas raisonnable, repousse Molinari. Ce n’est pas l’entraîneur qui prend un but à la 92e minute. Il ne faut pas s’attarder là-dessus et se serrer les coudes. » Bernard Serin, le président du club, injoignable hier, était déjà intervenu dans le vestiaire il y a deux semaines. Sans effet visible puisque Metz avait concédé un nul contre Châteauroux (0-0) le vendredi suivant. Les joueurs, eux, cherchent une explication. « On est passés à côté de notre seconde période, admet Christophe Marichez. On a trop reculé, on a trop balancé. Il faut vite se remettre en question, notre marge de manœuvre est nulle. » – L. D.

Ce n'est pas l'entraîneur qui prend un but à la 92 ème mais il me semble tout de même que c'est l'entraîneur qui propose un coaching nullissime non ?

Pour le coup, je pense que la faute revient totalement aux joueurs et je ne vois pas vraiment en quoi on peut rendre le coaching responsable de la défaillance de quasiment toute l'équipe.

[metz59]

Il faut vite se remettre en question, notre marge de manœuvre est nulle. » – L. D.

ça va durer jusqu'à quand ces conneries?

Toujours se remettre en question, après chaque match et visiblement ça marche pas... A un moment donné faut aller consulter un psy ou arrêter le foot.

[bialbo]

Ce sont les joueurs qui sont sur le terrain exact, mais ce serait peut-être au coach de leur faire de grands gestes pour leur dire de ne pas trop reculer et continuer à aller de l'avant il me semble...

Quant à Wiltord tout seul devant c'est navrant. Le foot se joue et si on déjoue en calculant on met l'équipe adverse en confiance (surtout que beaucoup d'équipe qu'on va rencontrer vont jouer l'esprit libre et c'est souvent là qu'on joue le mieux)...

[Chris]

je ne vois pas Serin prendre une telle décision sans en avoir touché un mot à son vice-président et là dessus Molinari est on ne peut plus clair !

YA un conseil d'administration, carlo peut ne pas etre d'accord pour l'écarter et les autres oui...

+1. Il l'a dit lui meme "celui qui dirige c'est celui qui paye". Serin a pour l'instant toujours pris des decisions qui allait dans le sens de l'ere Molinari, mais qui sait?

[MERCI-GG95]

tout doux les gats tout doux

n'oublier pas que clermont est sauver de la relegation

donc on appelle se les " ventre moux "

donc plus rien a ganer plus rien a perdre

metz a encore tout a gagner

si les public ne pousse pas les joueurs ne pousseront pas non plus

donc je vous donne tous rendez vous a METZ VS ARLES

deja que boulogne ( club de paysan ) nous on volait la place
on va quand meme pas se faire voler par un club qui viens de monter en L2

aller go a saint - symphorien

[aliosha]

Il dit bien, "à titre personnel". C'est ce qu'on appelle, en politiquement correct, "se décharger de toutes décisions prise par ses supérieurs"
Il ne va pas aller à l'encontre de ce qu'il n'a pas osé faire la saison dernière...(capisci ?)

Ho capito
Tu me redonnes de l'espoir !

[viking57]

C'est qd ce conseil d'administration ?

[jp_fcmetz]

C'est l'état d'esprit qui fait défaut actuellement, et ce à TOUS les niveaux. Le meilleur exemple actuel c'est bastia dans ce domaine, et je vous invite à visionner l'ensemble du résumé de bastia-angers ci-dessous, avec ce sporting qui était donné pour mort il y a peu et qui a sû se révolter et ce à TOUS les niveaux joueurs, supporters, dirigeants :
http://www.sc-bastia.net/v4/?p=3934