Exactement, on parle d'une conférence de plus de 20 minutes avec beaucoup d'éléments de fond, où il rappelle que ni l'OL ni la Ligue via son délégué n'ont aidé à faire reprendre le match, où il appelle à la solidarité que le coach a hier appelé de ses voeux à la radio, où il demande tout simplement à ce que le championnat du FC Metz soit respecté.get_up_kids a écrit :Je vous invite à regarder la conférence de presse en entier sur ce lien (22 minutes en tout), et vous verrez que la comparaison avec le Bataclan dure à peine 3 secondes, et ne représente quasiment rien dans cette interview._Chris. a écrit :Disponible ici dans son intégralité
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En faire le titre d'un article est nul et détourne du fond du sujet.
Et sur le fond outre ceux développés dans les différents résumés, j'ai noté 4 autres déclaration importantes pas relevés pour le moment:
- la réouverture de la Est Basse sera rapide,
- les replacements qui ont été fait pour les gens de la Tribune Est dans d'autres tribunes sont provisoires,
- sans le nommer, il lance une petite pique à Lopes, lorsqu'il donne l'exemple de Enyeama "qui avait atteint par un pétard lors de ASSE-Lille et qui selon BS avait eu le bon reflexe de sortir des 18 mètres avant de s'écrouler, ce qui avait mis fin immédiatemment aux incidents" dixit BS
- et enfin BS déclare comme bon nombre d'entre nous, que selon lui rien ne justifiait l'arrêt définitif du match, que dès après le lancer du 2ème pétard, le calme était revenu, et que comme à Saint-Etienne après le pétard sur Enyeama, le match aurait tout à fait pu reprendre!
Si certains ont envie d'être outré par la comparaison avec les attentats du 13 novembre, avec le "si j'osais" qui veut bien dire ce qu'il veut dire, qu'ils le fassent, moi ça m'intéresse pas, cette comparaison vaut ce qu'elle vaut mais elle n'est pas fausse. J'ai entendu "scènes de guerre" au lendemain de Metz-Lyon, j'ai entendu personne s'offusquer. Pas plus que quand j'entends des trucs genre "des spectateurs pris en otage" ou alors parler de supporters "qui font régner la terreur". C'est du même acabit.