Et maintenant!

[rocker's]

pas d'accord pour BESSAT,bonne patte gauche,buteur,combattant,
quant à BORBICONI parmi les cadres!!!
pour ta gouverne depuis qu'il est réapparu dans le groupe,on gagne plus et quand il était blessé,il a pas manqué.

[Deauville Grenat]

... Et puis l'an prochain avec Nantes, Strasbourg, Troyes (qui va monter), Boulogne, Grenoble et Le Mans (les relégués) plus les équipes surprises, il va y avoir du pain sur la planche pour les messins ! Ils feront office d'outsiders ! On est tombé bien bas ...

Ca va etre un super championnat la L 2 la saison prochaine,on pourra l'appelé la : L1bis.....



:motoo:

[nastasia]

Pour moi l'an prochain, on repart sur les même bases.
Marichez-Gueye-Borbiconi-Brégerie-Tamboura-Rocchi-Fréchaut-Mokhtari-Omotoyossi-Gestede-Bourgeois.
Plus Mutsch et quelques joueurs de CFA2. On réduit la voilure. La grande question pour 2010-2011, c'est quel entraîneur pour emmener tout ce petit monde ?

... Je pense qu'il faudra s'appuyer sur un entraîneur-formateur ! Pourquoi pas Hinschberger (Laval et ancien de la maison) ou bien encore Ollé-Nicole (viré de Nice mais baroudeur de la L2) ?

Pas Ollé Nicolle par pitié !

[joey ramone]

Ils vont garder Muller comme entraineur pour économiser un salaire ...

[Amsalem]

Un post "égocentrique", quand il est bien écrit, et que l'on se retrouve ou non sur le fond, a largement sa place parmi la masse d'autres interventions se limitant à quelques onomatopées. L'attachement viscéral à un club est un sujet qui me tient particulièrement à cœur. Expatrié par la force des choses ou non, on porte toujours en soi ce même amour que d'aucuns jugeront irrationnel mais qui, selon moi, l'est tout au contraire. Il est gage de respect pour sa terre, non de repli identitaire, non de fermeture aux autres mais l'on ne peut s'ouvrir que si l'on sait qui l'on est et d'où l'on vient. Avant de parler d'identité nationale, je préfère soulever l'identité régionale, celle qui vous touche au plus profond de votre être. Les rêveries de l'adolescence ont fait place à l'amertume et parfois même, au mépris. Où il est question d'éducation, de transmission d'un patrimoine à travers les âges. On aura beau me dire que le football pratiqué est plus séduisant sur la Cannebière, ce qui est souvent vrai d'ailleurs, tout est question de comment on considère ce sport : soit, justement, un simple sport. Dans ce cas : je "supporte" (quitte à galvauder le sens de ce verbe) le Barça ou le Real en Espagne, MU en Angleterre, Munich en Allemagne ou Bordeaux (plus rare)/Lyon/Marseille en France. Soit, plutôt qu'avoir un attachement à la carte, aussi creux que triste, je vie le football comme "autre chose" que des bons hommes s'étripant pour fouttre une chique au fond de cage de 7m sur 3,50m, et il devient alors le prolongement naturel de mon "chez moi", de mon Histoire, de mes racines. Rien que ça.

[Baloo]

Un post "égocentrique", quand il est bien écrit, et que l'on se retrouve ou non sur le fond, a largement sa place parmi la masse d'autres interventions se limitant à quelques onomatopées. L'attachement viscéral à un club est un sujet qui me tient particulièrement à cœur. Expatrié par la force des choses ou non, on porte toujours en soi ce même amour que d'aucuns jugeront irrationnel mais qui, selon moi, l'est tout au contraire. Il est gage de respect pour sa terre, non de repli identitaire, non de fermeture aux autres mais l'on ne peut s'ouvrir que si l'on sait qui l'on est et d'où l'on vient. Avant de parler d'identité nationale, je préfère soulever l'identité régionale, celle qui vous touche au plus profond de votre être. Les rêveries de l'adolescence ont fait place à l'amertume et parfois même, au mépris. Où il est question d'éducation, de transmission d'un patrimoine à travers les âges. On aura beau me dire que le football pratiqué est plus séduisant sur la Cannebière, ce qui est souvent vrai d'ailleurs, tout est question de comment on considère ce sport : soit, justement, un simple sport. Dans ce cas : je "supporte" (quitte à galvauder le sens de ce verbe) le Barça ou le Real en Espagne, MU en Angleterre, Munich en Allemagne ou Bordeaux (plus rare)/Lyon/Marseille en France. Soit, je vie le football comme "autre chose" que des bons hommes s'étripant pour fouttre une chique au fond de cage de 7m sur 3,50m, et il devient alors le prolongement naturel de mon "chez moi", de mon Histoire, de mes racines. Rien que ça.

C'est super bien dit, tu as raison.

Mais en sortant du stade vendredi j'ai entendu un jeune de 6 ou 7 ans maximum dire à son père: "Papa la prochaine fois que je te demande d'allez voir un match répond moi non stp".
Certes il est jeune et ne peut comprendre l'identité régionale, mais si même à cet âge là un enfant peut être déçu du spectacle proposé par les joueurs c'est pas évident de lui transmettre cette identité régionale

[Amsalem]

Mais en sortant du stade vendredi j'ai entendu un jeune de 6 ou 7 ans maximum dire à son père: "Papa la prochaine fois que je te demande d'allez voir un match répond moi non stp".
Certes il est jeune et ne peut comprendre l'identité régionale, mais si même à cet âge là un enfant peut être déçu du spectacle proposé par les joueurs c'est pas évident de lui transmettre cette identité régionale

Évidemment. Surtout quand les mômes se rêvent en Lisandro ou en Niang plutôt qu'en Mendy.
Une fois ceci dit, soit on baisse les bras et on considère qu'il faut que jeunesse se passe, avec son lot de pratiques mimétiques, soit on essaie de lui expliquer, avec les mots idoines, qui il est. C'est dur, c'est la théorie à laquelle se heurtent les difficultés du quotidien, c'est une besogne ardue dans un environnement de facilité, mais c'est aussi ça la responsabilité des plus grands. Récemment, j'ai vu un jeune qui se la racontait en faisant des jonglages, balle bloquée dans le cou, gueule stylisée à la Ronaldo, à lui arracher la tête. Une fois sa séance de vent achevée, dans le jeu, le prévisible s'est fait jour : il ne servait à rien. Au moindre coup d'épaule, il valsait sur 2 mètres, et empilait les traitages de mère. Cet ado, pour moi, et sauf à lui trouver un éducateur qui rattrapera les années perdues (si tant est que cela puisse l'être) est irrattrapable pour le football (de haut niveau) car il ne sait tout simplement pas ce que c'est. Les plus indulgents diront qu'il reproduit juste les clichés cliquant du footeux aux trois neurones (l'artificiel plutôt que le travail de fond), les autres, dont je suis, et avouant que je suis un piètre chrétien, ont simplement envie de lui enfiler son petit diamant par les narines.