Sans vouloir polémiquer sur un sujet sensible, en dehors de toute considération ethnique, le centre aligne une équipe majoritairement composée de jeunes joueurs africains venus pour faire une carrière en Europe qui leur apportera un niveau de vie que leur pays peut difficilement leur proposer. Ils bénéficient en outre d'un apprentissage scolaire probablement supérieur à ce qu'ils auraient eu dans leur pays natal, mais le bac ne permet pas non plus d'entamer une vie professionnelle.W0lfenstein57 a écrit :Tiens, lisez les commentaires en bas de l'article .... Affligeant !!
Entre ceux qui compte les joueurs blancs de l'équipe, ceux qui croit que les messins ont plus de 19 ans etc ...
Que feront ceux qui n'atteidront pas le niveau professionnel ? Déracinés de chez eux, peut être habitués au niveau de vie local dans lequel ils sont pris en charge, que prévoient les clubs pro pour compléter leur formation ou faire le lien avec une vie dans laquelle le foot ne les nourrira pas ou mal ?
Quand je vois qu'une équipe entière est élaborée avec ce "type de joueurs", je crains qu'on profite de leur "faible coût de revient" et qu'on préfère risquer plusieurs échecs, qu'importe l'impact dans leur vie en se disant qu'on leur a donné leur chance, plutôt que de se focaliser sur 2 ou 3 joueurs offrant les meilleures garanties et batir une équipe avec des joueurs européens ou locaux plus chers mais qui en cas d'échecs, ont pour la plupart un refuge dans leur famille qui pourra leur permettre faire une transition en douceur.
Si le club accompagne durablement les joueurs en situaton d'échec après le passage au CDF, mon post n'a évidemment pas lieu d'être.