METZ,que un club...

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rocker's
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METZ,que un club...

Messagepar rocker's » 20 mai 2010, 20:46

Article pris sur HORSJEU.NET,

Au courrier des lecteurs: Metz que un club…Samedi 15 mai 2010
Il faut du courage pour supporter le FC Metz depuis une bonne dizaine d’années et la saison qui s’achève n’a pas dévié de la droite ligne empreinte de lose qui est celle du club mosellan. En fait, le club au-maillot-frappé-de-la-Croix-de-Lorraine a réussi l’exploit de rééditer la même saison que l’an passé, et ça, ça n’est pas donné à tout le monde. C’est bel et bien une mécanique de précision qui est en marche. Une entreprise dédiée à la lose, adossée à une véritable stratégie de l’échec. Une fusée à six étages qui se déploie sous nos yeux ébahis.

Etape 1 : assurer les fondations
Tout commence par les atermoiements d’un Yvon Pouliquen de compétition. Le coach breton, célèbre pour son impressionnante collection de places de 4e de Ligue 2, décide en plein été de prendre une semaine de réflexion : va-t-il rester au club ? Pas fou, le Vonvon : il sait bien que ses dirigeants ne sont pas fous de ses entraînements mous du genou, où promener son chien en soignant son tabagisme remplace parfois les schémas tactiques. Le président Serin hésite puis se ravise : non, il ne versera pas une année de salaire pour donner la place à Enzo Scifo. Le chien est content : les terrains d’entraînement du stade de l’autoroute sont confortables.

Etape 2 : un recrutement estival de toute beauté.
En tête, Razak Omotoyossi, aka Omogoal le pénétrateur de défense, aka le Taureau de Pobé, vite devenu le taré empoté. Il avait signé quand le FC Metz 2008-2009 caracolait en tête de la ligue 2 et se retrouve dans un club en bois, coincé à l’étage inférieur. Insuffisant pour le fer de lance de l’équipe nationale béninoise, et qui a mis 14 buts en UEFA aux côtés d’Henrik Larsson pour Helsinborgs, avant un glorieux passage en Arabie Saoudite. Alors, hein bon. Il arrive à Metz avec un mois de retard et des kilos en trop et multiplie les déclarations du style « on m’a manqué de respect ». Il marquera deux fois dans la saison. A part ça, Metz a la bonne idée de recruter le Luxembourgeois Mario Mutsch, ancien mécano devenu pro sur le tard, ainsi que le jeune et talentueux ailier lyonnais Jérémy Pied. Non, pas de blague sur son nom de famille, c’est comme les vannes sur Kaka, c’est Sheitan.

Etape 3 : mystifier son monde et faire croire à l’impensable.
Vite expédiés, les 10 premiers matchs. La défaite initiale à Vannes sur le score de 3 à 0 met tout le monde d’accord : la saison va être pénible. Stéphane Borbiconi, revenu au club après un intermède turc, ne met pas un pied devant l’autre. Pouliquen impose son faux 4-3-3 à deux ailiers et trois milieux axiaux qui se marchent dessus : Rocchi-Cardy-Johansen, tous étiquetés L1. Ca ne marche pas. Papiss Cissé multiplie les ratés à la pointe de l’attaque. Tout va pour le mal. Jusqu’à ce Metz-Laval (3-2) où les Grenats remontent deux buts de handicap et sauvent la mise du Druide Breton. S’ensuivent alors une série de victoires dûes à la précision retrouvée de Papiss Cissé, 8 buts en 17 matchs. Metz fait à nouveau peur, et pas qu’à ses supporters, puisqu’il s’installe solidement sur le podium. Fin de l’histoire ? Ah ah, pauvres fous….

Etape 4 : couper les têtes qui dépassent
Papiss Cissé se fait trop remarquer ? Il est d’ailleurs le seul à avoir une « valeur marchande ». Le premier arrivé remporte la timbale et juste après Noël, le Pap’ file à Fribourg tâter du championnat allemand. Voilà le FC Metz sans attaquant de pointe. Au mercato d’hiver, c’est Sylvain Wiltord qui déboule avec fracas. Premier match, premier doublé! C’est sûr, on va y aller, cette fois-ci, c’est pas possible autrement. Le profil curieux de Youssef Mokhtari, 10 marocain élevé à la 2eBundesliga, interpelle par ailleurs, mais on s’en fout. Sa bedaine de joueur du dimanche reste sagement assise sur le banc. Sur le terrain, les arbitres gâtent les Messins de pénaltys généreux, et les victoires heureuses se multiplient. Mais les suiveurs ne sont pas dupes. En fait, l’absence de Cissé, joueur pourtant médiocre, se fait rudement ressentir, car personne d’autre dans l’effectif n’a les caractéristiques pour tenir le poste « 1″ du 4-5-1 très à la mode un peu partout. D’ailleurs, il sera le meilleur buteur du club avec 8 buts en fin de saison…

Etape 5 : dévoiler son plan démoniaque au grand jour
Comme l’an passé, Metz se présente en excellente position au moment du sprint final. Des points d’avance sur le 4e, en veux-tu en voilà. De plus, personne ne semble vouloir vraiment du fauteuil. Le Havre, Clermont, Laval ou Nîmes se démènent pour refuser cette 3e place qui semble être celle du C**. Un boulevard, on vous dit. N’empêche. Neuf matchs sans victoire ont raison de coach Poupou, dégagé un mois avant l’échéance. Ce dernier ne semble quasiment pas mécontent de ces vacances anticipées, et souhaite bonne chance au groupe pour la suite de la saison. Pendant deux années, il aura tenté de faire de Metz un club qui essaie de prendre le jeu à son compte. Eh, oh, druide, ici c’est Metz, keskya, nous c’est les Philippe Gaillot, les Cyril Serresdzum et les Gregory Leca qu’on sait faire, hein, tout ce qui est prout-prout et passes dans l’intervalle, faut oublier! Ici, on bétonne et on contre!

Etape 6 : rappeler le prince de la lose
C’est cruel pour le pauvre Muller, certainement le meilleur coach de l’histoire du FC Metz, qui a su mener en son temps ce petit club dans le haut de tableau pendant une demie-décennie. Ouais mais Muller, c’est l’homme des 2e places pleines de lose. Un titre perdu à la différence de buts contre Lens, un autre de rien face à Lyon, dans le camp lensois. Assurément, il est l’homme de la situation. La preuve : le Metz-Arles/Avignon décisif, il le perd à la dernière seconde. Ça vous la coupe, huh. Et pour remettre le couteau dans la plaie, deux victoires d’affilée refont basculer l’espoir dans le camp mosellan. La défaite finale contre Vannes a démontré une fois de plus l’incapacité qu’ont ces joueurs de prendre le jeu à leur compte. Bien joué, Jojo, mais, définitivement, cette quatrième place, elle est pour toi, Yvon.

Et maintenant ?
Maintenant que la stratégie de l’échec est accomplie, le plus beau reste à venir. L’an prochain, un budget divisé presque de moitié. 12 joueurs en fin de contrat, dont la moitié de cadres, bien trop chers pour le club. Seul motif d’espoir : les U19 qui remportent la Gambardella. Metz va devoir faire son Sochaux et donner les clés aux jeunes. Pas de quoi raisonnablement espérer une remontée l’an prochain. Vraisemblablement, c’est une saison sans désillusions qui s’annonce, et ça fait bizarre.

Graoullix
Dernière modification par rocker's le 23 mai 2010, 20:23, modifié 1 fois.

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Piou
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Re: METZ,que un club...

Messagepar Piou » 20 mai 2010, 21:05

C'est facile quand on est observateur exterieur et après une fin de saison comme cela de critiquer à tous va les choix. On serait monté, beaucoup n'auraient rien dit. Mais là, c'est une bonne periode ou les rats quittent le navire et ou les vautours viennent se delecter devant le malheur des autres

Baloo
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Re: METZ,que un club...

Messagepar Baloo » 20 mai 2010, 21:18

Piou a écrit :C'est facile quand on est observateur exterieur et après une fin de saison comme cela de critiquer à tous va les choix. On serait monté, beaucoup n'auraient rien dit. Mais là, c'est une bonne periode ou les rats quittent le navire et ou les vautours viennent se delecter devant le malheur des autres
+1

rocker's
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Re: METZ,que un club...

Messagepar rocker's » 20 mai 2010, 21:30

Piou a écrit :C'est facile quand on est observateur exterieur et après une fin de saison comme cela de critiquer à tous va les choix. On serait monté, beaucoup n'auraient rien dit. Mais là, c'est une bonne periode ou les rats quittent le navire et ou les vautours viennent se delecter devant le malheur des autres

sois tu as de la m**** dans les yeux ou alors,tu entends ce que tu veux,mais tu ne peux pas dire que ce journaliste a 100% tort! ... ou alors,tu es du style a pardonner a ta femme de t'avoir trompée!!!

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Amsalem
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Re: METZ,que un club...

Messagepar Amsalem » 20 mai 2010, 21:33

rocker's a écrit : sois tu as de la m***e dans les yeux ou alors,tu entends ce que tu veux,mais tu ne peux pas dire que ce journaliste a 100% tort! ... ou alors,tu es du style a pardonner a ta femme de t'avoir trompée!!!
Dans cette dernière hypothèse, plutôt que de passer mes nerfs sur un clavier en mettant Philippe Gaillot et Grégory Leca dans la même phrase, je vais récupérer un jerricane d'essence et une boîte d'allumettes.

rocker's
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Re: METZ,que un club...

Messagepar rocker's » 20 mai 2010, 21:51

Amsalem a écrit : Dans cette dernière hypothèse, plutôt que de passer mes nerfs sur un clavier en mettant Philippe Gaillot et Grégory Leca dans la même phrase, je vais récupérer un jerricane d'essence et une boîte d'allumettes.

il en faut pour tout le monde,cher compatriote

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Piou
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Re: METZ,que un club...

Messagepar Piou » 20 mai 2010, 21:52

rocker's a écrit : sois tu as de la m***e dans les yeux ou alors,tu entends ce que tu veux,mais tu ne peux pas dire que ce journaliste a 100% tort! ... ou alors,tu es du style a pardonner a ta femme de t'avoir trompée!!!
Ah mais je prétends pas qu'il a 100% tort, mais je trouve la démarche trop facile. C'est le démontage en règle qui me dérange. A lire l'article on croirait que metz a été relégué et qu'on joue en DH. Des femmes il y en a beaucoup mais un club de coeur il n'y en a qu'un. Alors si la saison passée est loin d'être idyllique j'en conviens, ce genre d'article je m'en passe, à croire que notre echec cette saison était écrit (c'est le sentiment que j'ai eu en lisant l'article). On en oublierais presque qu'on était "que" à 4 points de la montée. On aura au moins réussi à faire mieux que l'année dernière :bravo:

Baloo
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Re: METZ,que un club...

Messagepar Baloo » 20 mai 2010, 21:55

Piou a écrit :
rocker's a écrit : sois tu as de la m***e dans les yeux ou alors,tu entends ce que tu veux,mais tu ne peux pas dire que ce journaliste a 100% tort! ... ou alors,tu es du style a pardonner a ta femme de t'avoir trompée!!!
Ah mais je prétends pas qu'il a 100% tort, mais je trouve la démarche trop facile. C'est le démontage en règle qui me dérange. A lire l'article on croirait que metz a été relégué et qu'on joue en DH. Des femmes il y en a beaucoup mais un club de coeur il n'y en a qu'un. Alors si la saison passée est loin d'être idyllique j'en conviens, ce genre d'article je m'en passe, à croire que notre echec cette saison était écrit (c'est le sentiment que j'ai eu en lisant l'article). On en oublierais presque qu'on était "que" à 4 points de la montée. On aura au moins réussi à faire mieux que l'année dernière :bravo:
Je crois surtout que les gens oubli qu'on a finit la saison dernière 5eme et cette saison 4eme.
Et ça, malgré que Metz soit un club de L1, ce n'est pas donner à toutes les équipes.

renard

Re: METZ,que un club...

Messagepar renard » 20 mai 2010, 22:14

rocker's a écrit :Article pris sur HORSJEU.NET, signé part Graoullix, mais dont l'auteur s'appelle Julien Balboni qui est plus ou moins famille avec un de mes potes, et avec qui je suis amplement d'accord ;

Au courrier des lecteurs: Metz que un club…Samedi 15 mai 2010
Il faut du courage pour supporter le FC Metz depuis une bonne dizaine d’années et la saison qui s’achève n’a pas dévié de la droite ligne empreinte de lose qui est celle du club mosellan. En fait, le club au-maillot-frappé-de-la-Croix-de-Lorraine a réussi l’exploit de rééditer la même saison que l’an passé, et ça, ça n’est pas donné à tout le monde. C’est bel et bien une mécanique de précision qui est en marche. Une entreprise dédiée à la lose, adossée à une véritable stratégie de l’échec. Une fusée à six étages qui se déploie sous nos yeux ébahis.

Etape 1 : assurer les fondations
Tout commence par les atermoiements d’un Yvon Pouliquen de compétition. Le coach breton, célèbre pour son impressionnante collection de places de 4e de Ligue 2, décide en plein été de prendre une semaine de réflexion : va-t-il rester au club ? Pas fou, le Vonvon : il sait bien que ses dirigeants ne sont pas fous de ses entraînements mous du genou, où promener son chien en soignant son tabagisme remplace parfois les schémas tactiques. Le président Serin hésite puis se ravise : non, il ne versera pas une année de salaire pour donner la place à Enzo Scifo. Le chien est content : les terrains d’entraînement du stade de l’autoroute sont confortables.

Etape 2 : un recrutement estival de toute beauté.
En tête, Razak Omotoyossi, aka Omogoal le pénétrateur de défense, aka le Taureau de Pobé, vite devenu le taré empoté. Il avait signé quand le FC Metz 2008-2009 caracolait en tête de la ligue 2 et se retrouve dans un club en bois, coincé à l’étage inférieur. Insuffisant pour le fer de lance de l’équipe nationale béninoise, et qui a mis 14 buts en UEFA aux côtés d’Henrik Larsson pour Helsinborgs, avant un glorieux passage en Arabie Saoudite. Alors, hein bon. Il arrive à Metz avec un mois de retard et des kilos en trop et multiplie les déclarations du style « on m’a manqué de respect ». Il marquera deux fois dans la saison. A part ça, Metz a la bonne idée de recruter le Luxembourgeois Mario Mutsch, ancien mécano devenu pro sur le tard, ainsi que le jeune et talentueux ailier lyonnais Jérémy Pied. Non, pas de blague sur son nom de famille, c’est comme les vannes sur Kaka, c’est Sheitan.

Etape 3 : mystifier son monde et faire croire à l’impensable.
Vite expédiés, les 10 premiers matchs. La défaite initiale à Vannes sur le score de 3 à 0 met tout le monde d’accord : la saison va être pénible. Stéphane Borbiconi, revenu au club après un intermède turc, ne met pas un pied devant l’autre. Pouliquen impose son faux 4-3-3 à deux ailiers et trois milieux axiaux qui se marchent dessus : Rocchi-Cardy-Johansen, tous étiquetés L1. Ca ne marche pas. Papiss Cissé multiplie les ratés à la pointe de l’attaque. Tout va pour le mal. Jusqu’à ce Metz-Laval (3-2) où les Grenats remontent deux buts de handicap et sauvent la mise du Druide Breton. S’ensuivent alors une série de victoires dûes à la précision retrouvée de Papiss Cissé, 8 buts en 17 matchs. Metz fait à nouveau peur, et pas qu’à ses supporters, puisqu’il s’installe solidement sur le podium. Fin de l’histoire ? Ah ah, pauvres fous….

Etape 4 : couper les têtes qui dépassent
Papiss Cissé se fait trop remarquer ? Il est d’ailleurs le seul à avoir une « valeur marchande ». Le premier arrivé remporte la timbale et juste après Noël, le Pap’ file à Fribourg tâter du championnat allemand. Voilà le FC Metz sans attaquant de pointe. Au mercato d’hiver, c’est Sylvain Wiltord qui déboule avec fracas. Premier match, premier doublé! C’est sûr, on va y aller, cette fois-ci, c’est pas possible autrement. Le profil curieux de Youssef Mokhtari, 10 marocain élevé à la 2eBundesliga, interpelle par ailleurs, mais on s’en fout. Sa bedaine de joueur du dimanche reste sagement assise sur le banc. Sur le terrain, les arbitres gâtent les Messins de pénaltys généreux, et les victoires heureuses se multiplient. Mais les suiveurs ne sont pas dupes. En fait, l’absence de Cissé, joueur pourtant médiocre, se fait rudement ressentir, car personne d’autre dans l’effectif n’a les caractéristiques pour tenir le poste « 1″ du 4-5-1 très à la mode un peu partout. D’ailleurs, il sera le meilleur buteur du club avec 8 buts en fin de saison…

Etape 5 : dévoiler son plan démoniaque au grand jour
Comme l’an passé, Metz se présente en excellente position au moment du sprint final. Des points d’avance sur le 4e, en veux-tu en voilà. De plus, personne ne semble vouloir vraiment du fauteuil. Le Havre, Clermont, Laval ou Nîmes se démènent pour refuser cette 3e place qui semble être celle du C**. Un boulevard, on vous dit. N’empêche. Neuf matchs sans victoire ont raison de coach Poupou, dégagé un mois avant l’échéance. Ce dernier ne semble quasiment pas mécontent de ces vacances anticipées, et souhaite bonne chance au groupe pour la suite de la saison. Pendant deux années, il aura tenté de faire de Metz un club qui essaie de prendre le jeu à son compte. Eh, oh, druide, ici c’est Metz, keskya, nous c’est les Philippe Gaillot, les Cyril Serresdzum et les Gregory Leca qu’on sait faire, hein, tout ce qui est prout-prout et passes dans l’intervalle, faut oublier! Ici, on bétonne et on contre!

Etape 6 : rappeler le prince de la lose
C’est cruel pour le pauvre Muller, certainement le meilleur coach de l’histoire du FC Metz, qui a su mener en son temps ce petit club dans le haut de tableau pendant une demie-décennie. Ouais mais Muller, c’est l’homme des 2e places pleines de lose. Un titre perdu à la différence de buts contre Lens, un autre de rien face à Lyon, dans le camp lensois. Assurément, il est l’homme de la situation. La preuve : le Metz-Arles/Avignon décisif, il le perd à la dernière seconde. Ça vous la coupe, huh. Et pour remettre le couteau dans la plaie, deux victoires d’affilée refont basculer l’espoir dans le camp mosellan. La défaite finale contre Vannes a démontré une fois de plus l’incapacité qu’ont ces joueurs de prendre le jeu à leur compte. Bien joué, Jojo, mais, définitivement, cette quatrième place, elle est pour toi, Yvon.

Et maintenant ?
Maintenant que la stratégie de l’échec est accomplie, le plus beau reste à venir. L’an prochain, un budget divisé presque de moitié. 12 joueurs en fin de contrat, dont la moitié de cadres, bien trop chers pour le club. Seul motif d’espoir : les U19 qui remportent la Gambardella. Metz va devoir faire son Sochaux et donner les clés aux jeunes. Pas de quoi raisonnablement espérer une remontée l’an prochain. Vraisemblablement, c’est une saison sans désillusions qui s’annonce, et ça fait bizarre.

Graoullix

Ton pote Graoulix c'est plutôt lui le prince de la lose :mrgreen:

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Pires57
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Re: METZ,que un club...

Messagepar Pires57 » 20 mai 2010, 22:20

une saison décevante ne justifie pas de rédiger un tissu d'âneries comme ce billet d'humeur du bien nommé Graoullix (genre je viens au stade que lorsque la place est à 2 euros?)

je lui recommande de prendre des cours particuliers de math, parce que pour moi, 13 "quasiment divisé par deux" ça donne pas 11...qui a été annoncé comme le budget 10/11...comme quoi avant de faire l'intéressant on tourne sept fois sa langue dans sa bouche avant de dire n'importe quoi... :roll:


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