[Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

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ONEMOREMETZ
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar ONEMOREMETZ » 19 sept. 2009, 19:43

Il est quand même étonnant de voir une belle équipe comme Stras au fond du trou (et Metz au bord du trou) !

Cela ne peut pas perdurer.


Sinon ça va merdurer.

:oops:

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Fredfred57
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar Fredfred57 » 20 sept. 2009, 12:04

Strasbourg n est pas une belle equipe et vu le merdier là bas il n y a rien d etonnant

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firefox
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar firefox » 20 sept. 2009, 12:25

Et Joël Muller...plus personne n'y pense ? :siffle:

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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar Fredfred57 » 20 sept. 2009, 16:02

lui qui ne voulait pas y aller en juin ne va certainement pas y aller en pleine déconfiture...

meme papin qui voulait succeder à Gress à dit refuser de venir dans de telles conditions alors que tout semble deja perdu perdu pour cette saison.

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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar Fredfred57 » 20 sept. 2009, 16:03

Racing
Tous perdus

zoom
L’information n’a pas été confirmée officiellement, mais Pascal Camadini, aperçu ces derniers temps au chevet de l’effectif pro, occupe depuis une dizaine de jours les fonctions de coordinateur sportif.
Photo Jean-Marc Loos
En perdition à la dernière place de Ligue 2 qu’il occupe seul, un RCS en pleine sinistrose cherche en vain des solutions. Dirigeants, staff et joueurs font face à leurs responsabilités sans savoir comment sortir de l’ornière. Pascal Camadini, nommé coordinateur sportif bénévole en toute discrétion la semaine dernière, peut-il contribuer à restaurer une confiance défaillante ?


« On ne peut pas descendre plus bas » (Pascal Janin). « L’équipe a touché le fond » (Philippe Ginestet). Les jugements sont accablants et le Racing, accablé. Après sept journées de Ligue 2, sa colonne victoires est toujours vierge. Celle des défaites en affiche quatre. Ses valises (15 buts encaissés, 21 en comptant la Coupe de la Ligue) sont pleines. La coupe aussi. Mais le RCS a, lui, tout d’une coquille vide.

Un vide abyssal, comme celui dans lequel les Bleus se sont exprimés avant-hier à Clermont (revers 0-3). Malgré l’état d’urgence décrété la veille par le président Philippe Ginestet, le constat d’échec est aussi cinglant que la claque reçue en Auvergne. Pour l’homme d’affaires d’abord qui, depuis sa prise de fonctions en décembre 2005 et après un court passage de relais de début juin à la mi-août, accumule des désillusions dont il ne peut réfuter la paternité. « Quand on collectionne autant d’erreurs dans une entreprise, à un moment donné, le patron est tenu pour responsable », commente un observateur privilégié de la vie du club.

Vendredi soir au stade Gabriel-Montpied, Philippe Ginestet a ouvert la porte à un remaniement imminent. « J’ai quitté en juin une équipe qui venait de terminer à un point du podium et j’en retrouve une que je ne reconnais pas. Le problème est avant tout mental. Ma réflexion porte sur le fait d’avoir un discours nouveau. Sous quelle forme ? Je ne peux pas le dire. C’est trop tôt et je ne me donne pas de délai. L’important, c’est de diagnostiquer d’où vient le mal pour adapter les remèdes. »

Janin serait le 5 e entraîneur viré en moins de quatre ans

Comme souvent, l’investisseur immobilier n’a pas attendu pour agir. Il y a une grosse semaine, il a intronisé en toute discrétion son ami et ex-pro Pascal Camadini - actuellement en stage au RCS dans le cadre d’une formation universitaire – dans un rôle bénévole de coordinateur sportif.

A-t-il d’autres moyens d’influer sur la gestion du groupe ? Pour lui, la position est sinon intenable, du moins délicate. Précédé d’une réputation de trancheur de têtes qu’il a lui-même forgée, avec quatre entraîneurs usés en à peine quatre ans (Jacky Duguépéroux, Jean-Pierre Papin, Jean-Marc Furlan et Gilbert Gress) et un cinquième, Pascal Janin, sur la corde raide, le patron du Racing joue sur les mots. « Je n’ai remercié personne cette année. Pascal Janin était l’entraîneur en titre (1). » Qu’importe ! Entre la rudesse d’un Gilbert Gress et la souplesse – à ne pas confondre avec de la faiblesse ou de la mollesse – d’un Pascal Janin, son club n’a toujours pas trouvé la méthode adéquate.

Virer Janin reviendrait à écorner davantage une crédibilité plus qu’entamée et à entrer dans le livre des records. Surtout à peine plus d’un mois après avoir conforté un technicien initialement nommé pour un intérim. Sans préjuger de décisions qu’il prend toujours en solo, Philippe Ginestet, convaincu « qu’il y a nécessité à faire quelque chose », se prépare en tout cas à replacer les joueurs devant leurs responsabilités, après l’avoir fait sans succès jeudi. Il entend aussi convier son entraîneur à sa réflexion. « Nous allons chercher avec lui les solutions. »

« Nous allons surtout tout faire pour les trouver », lui fait écho ce dernier. Quand on sait que le prochain adversaire du Racing se nomme Caen, leader de L 2 (le lundi 28 à 21 h à la Meinau), c’est peu dire qu’il y a urgence.

Stéphane Godin
(1) Janin possède le DEPF (diplôme d’entraîneur professionnel de football) et « couvrait » Gress qui en est dépourvu.

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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar Fredfred57 » 20 sept. 2009, 16:04

Football
Football / Énième crise au Racing, après la défaite à Clermont (3-0)
Leur crédit est épuisé
Déjà peu reluisante ces derniers temps, l'image du Racing a encore un peu plus été écornée après sa défaite subie vendredi soir à Clermont. Désormais lanterne rouge de Ligue 2, le club de Philippe Ginestet est devenu la risée de l'Alsace et de la France du ballon rond. Comment en est-il arrivé là ?
Elle ressemble un peu à celle du Titanic, l'histoire que vit actuellement le Racing. Alors que le paquebot coule à pic, l'orchestre continue de jouer, comme si de rien n'était.
Hier après-midi, au lendemain d'une dérouillée en terre auvergnate qui devrait faire date dans la cahoteuse chronique d'un club décidément à nul autre pareil (*), chacun a ainsi récité sa partition sans trop prêter attention à l'environnement extérieur, devenu carrément hostile, pour ne pas dire sarcastique.
Il y a donc toujours un entraîneur qui entraîne. Même s'il est au repos jusqu'à lundi, après avoir envoyé ses hommes panser leurs plaies chez eux, Janin garde les commandes.

Ginestet : « Sortir
l'équipe de la sinistrose »


« Ce n'est pas moi qui vais décider de mon sort, explique-t-il. J'ai le sentiment que les gars écoutent toujours mon discours et apprécient mes séances. Même si on a tous pris un gros coup derrière la tête, je ne suis pas résigné. A moi de redonner le moral aux troupes et de trouver des solutions avant lundi prochain et la venue de Caen. »
Dès vendredi soir, dans les couloirs du stade Gabriel-Montpied, Philippe Ginestet laissait pourtant entendre que l'heure du changement allait incessamment sonner. « La réflexion doit être ouverte à ce sujet, a ajouté le président hier. La priorité est de sortir au plus vite l'équipe de la sinistrose dans laquelle elle est plongée depuis le mois de juin. »
Au-delà du constat d'échec, qu'il impute « à ceux qui ont mis le groupe dans cet état à la suite d'une préparation désastreuse » - lisez Gilbert Gress et Léonard Specht entre les lignes -, Ginestet est pourtant bien en peine de proposer la moindre solution concrète. « J'ai de bonnes relations avec Pascal (Janin), je vais évoquer le problème avec lui, poursuit-il. Je pense que c'est aussi très difficile en ce qui le concerne. »

Papin : « Le poste m'aurait
intéressé, mais c'est trop
compliqué maintenant »


Bref, Janin est encore en place mais ne le sera peut-être plus très longtemps. Encore faut-il trouver un successeur à l'ex-adjoint de Gress. Eu égard à la « sinistrose » dépeinte par Ginestet himself, on ne se presse pas au portillon.
Jean-Pierre Papin, par exemple, n'entend pas endosser l'uniforme du pompier de service. « C'est trop compliqué maintenant, confie l'homme de la remontée, en 2006/07, toujours sans club. Le poste m'aurait intéressé après deux matches (quand Gress a été remercié, ndlr), mais là, c'est trop tard, d'autant que les rencontres les plus dures vont arriver. La situation est devenue explosive. Ça me désole pour tous les supporteurs. »

Gindorf : « Quand le poisson
pourrit par la tête,
il faut la couper »


Encore plus négatif, Egon Gindorf (**) préconise, lui, la solution radicale. « Je suis dépité, assure l'homme qui avait passé le relais à Ginestet en décembre 2005. Quand le poisson pourrit par la tête, il faut la couper. Changer la direction, les hommes en place est désormais la seule issue. Mais la question est de savoir qui veut aujourd'hui d'un club aux portes du National... »
Las d'entendre « tous ces gens qui parlent à tort et à travers mais qui n'agissent jamais », Ginestet défend bec et ongles son bilan, en refusant d'endosser seul la responsabilité du désastre actuel. « On me tombe dessus à bras raccourcis, mais je rappelle qu'en octobre 2004, quand le Racing était avant-dernier de L 1 après six journées, c'est moi qui ai mis l'argent pour garder Niang, tempête-t-il. C'est peut-être grâce à ça que l'on finit onzième et aussi européen. »
Cette époque reluisante est bel et bien révolue. Entre-temps, le Racing a petit à petit perdu pied pour se retrouver au fond du trou, dépouillé de ses meilleurs éléments et dépourvu de ligne directrice à long - ou même moyen - terme.
Pire, les dysfonctionnements au sein du club, et ce à tous les étages, commencent à se faire jour. Le mode de fonctionnement présidentiel, jugé autocratique et relayé au quotidien par le président délégué Jean-Luc Herzog, a semble-t-il découragé bon nombre de compétences.

« On est engagé dans
une année de transition »


Les détracteurs de Ginestet parlent désormais d'un miroir aux alouettes qui a fini par se briser, à force d'additionner les incompétences. Acculé, l'intéressé ne baisse pas pour autant la garde. « Par la force des choses, on est engagé dans une année de transition, avant de s'atteler à un nouveau projet », dit celui qui ne désespère par « d'ouvrir l'actionnariat pour prendre du recul. »
Les derniers chiffres qui circulent quant au prix exigé pour acquérir le club sont de l'ordre de 4,5 millions d'euros, soit peu ou prou l'argent que Ginestet a jusque-là injecté. « Même pour l'euro symbolique, ça ne va pas être évident de trouver un investisseur », tempère Egon Gindorf.
Toujours est-il que le crédit du président et de ses hommes auprès du public alsacien est désormais épuisé. Philippe Ginestet, lui, s'en tire avec une ultime pirouette au moment d'évoquer le prochain match contre Caen, leader de la Ligue 2 : « Les derniers seront les premiers. » On vous l'a dit. Le Racing coule mais l'orchestre continue à jouer comme si de rien n'était.


Sébastien Keller
(*) Le Racing hérite pour la première fois de son histoire de la lanterne rouge en Ligue 2. (**) L'ancien président Gindorf est toujours actionnaire du club, mais il ne siège plus au conseil d'administration.

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Fredfred57
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar Fredfred57 » 20 sept. 2009, 16:04

Football
Le président du Racing à la tête d'un club qui n'en finit pas de s'enfoncer
Ginestet ou l'ère du déclin
Aux affaires depuis près de cinq ans, numéro un du Racing depuis presque trois, Philippe Ginestet est à la tête d'un bilan désastreux.
Il focalise les critiques, les interrogations, nourrit les mystères et, au final, concentre nombre d'attentions. Désireux de s'effacer voilà trois mois, revenu sur le devant de la scène il y a quelques semaines, l'Albigeois d'origine, l'Alsacien d'adoption, est logiquement en première ligne. Il demeure au coeur de maëlstrom qui va dans tous les sens sauf dans le bon.
Le désastre actuel s'apparente à une illustration fidèle de sa présence au club. Quinzième président de l'histoire professionnelle du Racing, Philippe Ginestet a succédé à Egon Gindorf, officiellement à la mi-décembre 2005. Sponsor, puis actionnaire majoritaire dès octobre 2004, l'homme d'affaires, âgé de 38 ans à l'époque, participait à un tour de table où fleuraient bon la concertation et la confiance sous la férule du « sage » allemand.

Défiance avec Marc Keller


A cette époque, Ginestet devient président délégué. Mais plutôt qu'un processus en douceur pour prendre le relais, une guerre de tranchée ne manque pas de s'organiser, un climat de défiance entourant notamment les relations avec Marc Keller. Cristallisée autour de la prolongation ou non du contrat de Pascal Camadini comme joueur, une forme de guerre de succession marque la fin la saison 2004-2005. Marc Keller menace de partir, le Racing traverse une tempête. Après la fumeuse suggestion d'envisager une victoire bonifiée d'un ou deux points selon l'écart de buts, le nouveau dirigeant sort de sa manche un idée cocasse pour demeurer au centre des débats, voire des décisions : confier aux supporteurs une partie du capital du club pour les transformer en socios.
Finalement, il s'efface, réduisant son investissement au Racing pour... mieux revenir six mois plus tard. Cela ne vous rappelle rien ? Toujours est-il qu'il devient effectivement président au terme d'un joyeux bazar, quand il menace d'attaquer les actionnaires majoritaires désireux de confier le bébé à Alain Afflelou. Le club strasbourgeois tombe en L 2 six mois après son intronisation.
Ginestet débarque Duguépéroux dans les couloirs du Vélodrome en annonçant le nom de son successeur, Jean-Pierre Papin. Le coup médiatique est retentissant. Sportivement, le pari est gagné puisqu'une remontée immédiate sanctionne la saison 2006-2007.
Mais une nouvelle pantalonnade marque l'intersaison qui suit. L'entraîneur et le président s'aiment, se déchirent et, finalement, se séparent. « JPP » met en cause la présence de l'homme du président, Ferhat Khirat, dans l'encadrement du groupe pro.

Le président dans la position
de l'empereur vêtu
de ses habits neufs


Un inédit limogeage de technicien ayant fait remonter une équipe et un remplacement par celui qui vient d'en faire descendre une autre interviennent à l'été. Le Racing surfe à proximité des sommets de l'élite. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, même si les clans ne manquent pas d'affûter les couteaux en coulisses.
Et, au printemps, une historique série de onze défaites d'affilée ramène le Racing en L 2. Fort logiquement, Jean-Marc Furlan est confirmé dans ses prérogatives. Il est démis après avoir échoué pour un point dans l'opération remontée, au terme d'une saison où les inimités n'ont, une fois de plus, pas manqué de s'exprimer. Aujourd'hui, après avoir veillé à animer un véritable vaudeville, le « prési » est dans la position de l'empereur vêtu de ses habits neufs : soit complètement nu.

Séb

RL du 21/09/2009 : Strasborug toujours en crise !

Messagepar Séb » 21 sept. 2009, 06:20

Image



Après sa lourde défaite (0-3) vendredi à Clermont, le RC Strasbourg occupe pour la première fois de son histoire le poste de lanterne rouge de la Ligue 2. Le club alsacien continue ainsi à s’enfoncer dans une crise qui va au-delà du simple aspect sportif.

« Nous sommes en train de réfléchir à la façon dont nous pouvons avancer après cette claque. La situation est critique. On parle désormais de maintien », reconnaît Jean-Luc Herzog, auquel l’actionnaire principal, Philippe Ginestet, a délégué la présidence, fin août.

Officiellement, on ne parle pas d’un énième changement d’entraîneur. Il serait le cinquième en trois ans. D’abord parce que se séparer de Pascal Janin, nommé après le licenciement de Gilbert Gress, a un coût élevé pour un club manquant d’argent. Ensuite parce que Strasbourg n’attire pas les foules.

Jean-Pierre Papin, évoqué déjà comme successeur de Gress au cœur de l’été et dont le nom a circulé à nouveau samedi, a fait savoir qu’il n’était « pas intéressé par l’aventure » que constituerait son retour sur le banc du club qu’il a fait remonter en L1 en 2007. « Après Lens, je ne pars pas dans un club après sept matches joués et trois points », a expliqué le Ballon d’Or 1991 samedi soir à Boulogne-sur-Mer. « Jean-Pierre Papin tout comme Luis Fernandez ne sont plus des noms d’actualité », admet Jean-Luc Herzog.

En revanche, circule en Alsace le nom de Gérald Baticle, ancien attaquant du Racing (et de Metz), qui a déjà succédé une fois à Pascal Janin : c’était la saison dernière, à Brest, avant d’être lui-même remplacé par Alex Dupont.
« Poisson pourri »

Strasbourg sait qu’il doit agir. Seul club de L2 sans le moindre succès, il se retrouve à déjà trois points d’Istres, premier non-relégable. Et de candidat naturel à la montée, il voit désormais la relégation en National hanter son horizon.

Lors de la promotion de Janin, à la méthode plus douce que Gress, les dirigeants avaient indiqué qu’ils jugeraient sur les résultats d’août et de septembre. Mais, avec seulement trois nuls et trois défaites, le bilan équivaut presque à un zéro pointé.

Le retour de Habib Bellaïd, prêté par Francfort pour consolider une défense à la rue, n’a pas fait évoluer une équipe qui baisse les bras, selon Janin, quand elle est menée. Et de croire que les retours de Stéphane Pichot, Nicolas Fauvergue et Emil Gargorov inverseront enfin la tendance contre Caen, lors de la prochaine journée.

Le problème est que la crise n’est pas uniquement sportive. Dans les coulisses, comme souvent à Strasbourg, depuis son seul et unique titre en 1979, la guerre est déclarée. Et l’ambiance est devenue délétère.

« Quand le poisson pourrit par la tête, il faut le couper », a lancé hier dans les Dernières Nouvelles d’Alsace Egon Gindorf, un ex-président et toujours actionnaire, qui avoue regretter d’avoir vendu le club à Ginestet en décembre 2005.

En urgence, une nouvelle fois, au chevet du nouveau bonnet d’âne de la Ligue 2, les dirigeants alsaciens ont dit se donner « une réflexion de 48 heures ». Il est sûr qu’il faudra plus qu’une potion magique pour sauver le Racing.

Séb

Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar Séb » 21 sept. 2009, 06:21

taser a écrit :c'est une tactique. Ils vont remonter en boulet de canon tu vas rien comprendre.
N'importe de quoi ta remarque......

Strasbourg n'a pas de fond de jeu

C'est Normal qu'il soit dernier de L2.

J'ai regardé Nantes Strasbourg et ben que c'est pauvre techniquement au niveau du jeu coté Strasbourgeois

Désolé Knack

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Juju10
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar Juju10 » 21 sept. 2009, 09:50

Séb a écrit :
N'importe de quoi ta remarque......

Strasbourg n'a pas de fond de jeu

C'est Normal qu'il soit dernier de L2.

J'ai regardé Nantes Strasbourg et ben que c'est pauvre techniquement au niveau du jeu coté Strasbourgeois

Désolé Knack

Toi n'importe quoi ta remarque,
On peut pas dire que ce soit normal que Stras est dernier de L2, si t'as regardé que le match Nantes-Stras c'est peu pour juger...
Je ne cache pas que j'aimerai pas être dans la situation de leur club mais Stras en National il n'y a rien de réjouissant!
De mon point de vu, ils ont des bons joueurs mais il doit y avoir une ambiance complètement pourrie!
Et quand on regarde leurs matchs, ils ont joué Laval Chateauroux Arles : soit 3 surprises de ce début de saison, Nantes, Clermont qui se sont donnés à fond sur tous les ballons...

Leur début de saison est l'amalgame d'une mauvaise préparation, d'une sale ambiance, de match compliqué et de pas de chance faut le dire......Ce tout fait que Stras est actuellement dernier, mais perso je vois pas Stras descendre.

Je protège en aucun cas le RCS mais je préfère voir Stras et Metz en L1 que Boulogne, Grenoble, Laval, VA.....


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