Amsalem a écrit :henrik larsson a écrit :Pour avoir vu le match à la Tv et bien l'arbitrage fut bon , les fautes sifflées furent réelles.
Les commentateurs ont aussi salué l'arbitrage , Fauvergue également.
Pour le coup être en tribune ne permet pas de se faire un bon avis .
Rien à carrer des commentateurs, leurs avis n'ont pas plus de poids que ceux de Mimiche (en transe) ou Tonyfc (perdu pour la France aux alentours de la 25e minute, et encore, Chapron avait alors le frein à main).
Les fautes sifflées "réelles" ?
Ce raccourci induirait-il une absence d'erreur(s) ? Auquel cas, ce qui me rassure dans le fond, c'est que nous ne devons pas avoir la même conception du football.
Un exemple. Le jaune de Bussmann. Une blague. La faute est aussi avérée que le triple salto de la fiente troyenne.
Quand tu vois des types comme Darbion en train de pleurer leur mère à chaque contact, il faudrait juste que ces types, ces pseudos professionnels, aient conscience qu'avec certains, tu fais "ça" (c'est-à-dire tomber comme une mer** au moindre contact, invoquer tous les Saints dès qu'ils sentent un pied en contact avec leur mollet) une fois, pas deux. La deuxième, tu auras vraiment des raisons de te tordre de douleurs. Et cet après-midi, nous avons eu droit à un arbitre qui sifflaient quasiment toutes les supplications des schtroumpfettes.
Par contre, en face, t'as un joueur qui, pour lui faire goûter la pelouse, attend d'avoir une latte dans le dos, une autre dans les gencives, et un gardien qui termine la danse par un ippon.
Du coup, comme le c** n'aime pas le vent, il reste debout, se bat...mais se fait baiser.
Un exemple : Juste avant la mi-temps, un dégagement côté droit, Sakho contrôle dos au but au niveau de la médiane, près du banc. Le type vient par derrière et lui met une gentille secousse.
Sauf que Diafra n'ayant sans doute pas été élevé façon Worms, il tente de rester sur ses pattes et perd la balle.
Même topo dès le coup d'envoi de la seconde mi-temps mais on inverse les rôles : une balle pour un bleu, un grenat qui fait pression, et le premier de se rouler par terre, l'amour propre au placard.
Et ce triste scénario, on l'a vu plus d'une fois, à tel point même que cela en devint pathétique et acheva, même les quadras et quinquas autour de moi (tu vois, je peux aussi balancer des références), dont le cerveau semblait bien en marche et pas du tout le prototype du bœuf qui beugle avec le troupeau pour un rien, et bien toutes ces personnes étaient simplement consternées.
Alors, de tout cela, il paraît évident que Chapron n'est pas le seul responsable, cela va de soit. Ce vice, cette science du vice dont certains se pignolent, je la vomis.
Le problème, c'est que l'arbitre, comme souvent, est tombé dans le panneau et, pour l'avoir évoqué précédemment dans ce sujet, au-delà de la colère, cela me fout le blues.
Parce que demain encore, je vais, aux fins fonds du District mosellan, côtoyer pendant 90 minutes un de ces anonymes du dimanche, ceux-là même qui peuvent s'en manger une à tout moment, ceux-là qui commettront sans doute, et c'est normal, des erreurs, mais dont le gain, sans doute leur seule passion, me paraît bien maigre en comparaison des risques et du peu de mansuétude dont ils bénéficient, contrairement à leurs collègues "réputés" pro.