[Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

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gauloiskiki

Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar gauloiskiki » 17 déc. 2009, 17:41

DCD a écrit :
gauloiskiki a écrit : J'ai du mal à comprendre en quoi le fait que le club soit détenu par des actionnaires locaux en fasse un club pourri jusqu'à la moelle !!
Je pense qu'il voulait dire que les actionnaires locaux sème la zizanie afin que el club ne soit pas à nouveau vendu à des étrangers, quittent à le mener droit dans le mur.
Je suis pas sur que ce soit pas l'arrivée de ce genre d'énergumènes que le club s'en sortent non plus ...

Les mecs sont juste venu pour essayer de faire du fric et lorsqu'ils ont vu qu'on ne les laisserait pas faire ce qu'ils veulent (Actionnaires minoritaires + DNCG), ils ont mis les voiles sans se soucier du futur du Racing.

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IroOn
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar IroOn » 17 déc. 2009, 20:48

Franchement je ne sais pas pourquoi ils sont venus mais je doute qu'ils soient venus pour faire du fric. A l'heure actuelle on sait très bien qu'on ne fait quasiment jamais de fric avec un club de foot, alors vouloir en faire avec un club au fond du trou sportivement et en déficit chronique financièrement, ça me parait utopique.

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Fredfred57
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar Fredfred57 » 17 déc. 2009, 20:51

ben en tout cas ça pue du cote de la meinau

et je ne voudrait en aucun cas etre à leur place

Séb

DNA du 18/12/2009 : Grand-guignolesque

Messagepar Séb » 18 déc. 2009, 10:16

C'est une équipe au fond du trou, dépourvue depuis hier d'actionnaire majoritaire, dont le président est sur le départ alors que l'entraîneur a été remercié avant d'être rattrapé par le bout de la manche, qui s'apprête à défier tout à l'heure (20 h 30) l'En Avant Guingamp. Au Racing, décidément, le pire est toujours à venir.

Image
Alain Fontenla est annoncé, ce soir à la Meinau contre Guingamp. Viendra ? Viendra pas ? Et pour y faire quoi, au juste ? (Photo DNA - Laurent Réa)

Jusque-là, tout va mal. Très mal. Au Racing, inlassablement, chaque jour apporte son lot de désillusions et de consternation. Si bien que la réalité a fini par dépasser l'affliction.
On pensait pourtant avoir tout vu lors de l'ère américano-surréaliste de McCormack. Laissé exsangue par le passage dévastateur des Proisy, Le Roy et consorts - de 1997 à 2003 -, le club strasbourgeois avait un peu recouvré la santé sous le regard protecteur de Gindorf.

Un violent tourbillon
a plongé la Meinau
dans le chaos


La rechute, incarnée par les échecs sportifs de Philippe Ginestet, n'a ensuite cessé d'inquiéter les amoureux du club. Mais un fol espoir de rémission a pris corps voilà deux semaines, jour pour jour, quand le président, décrié et moralement usé, a décidé de passer la main à « un grand financier » censé sortir le Racing de l'ornière.
Las, rien, mais alors strictement rien, ne s'est déroulé comme prévu. En une petite quinzaine, un violent tourbillon venu d'Angleterre, sinon de Suisse, a emporté les rares certitudes et plongé la Meinau dans le chaos.
Dans le sillage de Julien Fournier, président salarié très vite dépassé par les événements (lire ci-dessous), une légion de nouvelles têtes a participé à la cacophonie ambiante.
Roman Loban, golden boy estonien de 27 ans, rachète le club mais disparaît aussitôt de la circulation sans passer par la case Meinau. Un sentiment de malaise affleure. Alain Fontenla, entouré de son conseiller Ralph Isenegger et de Christophe Cornelie, se présente comme l'actionnaire majoritaire. L'homme, d'apparence joviale, n'entend rien, mais alors absolument rien, au football. On se gausse dans les chaumières.
Suit le crispant épisode de la vraie-fausse arrivée de Jean-Pierre Papin. Pascal Janin est débarqué dès jeudi, mais l'ex-Ballon d'Or hésite, à juste titre. Quoi de plus logique, dès lors, que de réintégrer le coach évincé et, fatalement, très embarrassé ?
L'affaire vire à la pantalonnade quand Fontenla ne parvient pas à montrer « patte blanche » devant la DNCG, mardi. Trois millions d'euros manquent à l'appel. Une paille que le repreneur n'avait visiblement pas prévu d'injecter sans ciller... Ce n'est plus un faisceau de doutes qui converge vers la Meinau, mais un projecteur surpuissant.
Le comble du ridicule n'est pourtant pas encore atteint. Il faut attendre hier matin pour dépasser les bornes de l'entendement. La société EuroRacing qui gère le club doit se réunir en assemblée générale pour entériner la passation de pouvoir entre Ginestet et Fontenla.
Problème, ni le nouveau patron, ni aucun de ses représentants, ne pointe à l'horizon. Abracadabra : la troupe s'est volatilisée, sans laisser d'adresse. Julien Fournier est abasourdi, les autres actionnaires restent pantois.
Comme tout le monde, Julien Fournier découvre vers midi, à travers un communiqué effarant, que Fontenla et ses hommes ont mis les bouts pour de bon. La faute en incombe à la presse, bien évidemment, mais aussi à quelques actionnaires minoritaires qui « n'ont eu de cesse de (les) critiquer totalement gratuitement, voire de façon parfois diffamatoire ». Même la DNCG en prend pour son grade.
Ralph Isenegger assure que le futur ex-patron du Racing - celui-ci se « retire pour votre plus grand plaisir (sic) » - est « un garçon extrêmement sensible, proche de la dépression, qui a été confronté à un milieu impitoyable. » Pauvre de lui.
Personne n'aura eu le temps de le regretter. Pas même Ginestet, qui a le sentiment de « s'être fait berner, comme Julien Fournier, face à des promesses non tenues ». Le président sortant se réjouirait presque de ce départ : « A partir du moment où il ne peut pas assurer ses obligations, c'est une bonne nouvelle. A condition qu'il passe la main rapidement. »

L'heure de la mobilisation
alsacienne sonne à nouveau


Dans le rang des autres actionnaires, l'heure de la mobilisation sonne à nouveau. Alors que l'historique André Bord «adjure les élus strasbourgeois de provoquer une réunion» entre les forces vives locales, Alain Fontenla laisse à ses détracteurs « jusqu'au 24 décembre » pour formuler une proposition de reprise.
« Fédérer les Alsaciens autour d'un projet commun n'est pas évident, le plus dur commence », conclut Dominique Pignatelli. Et dire qu'il y a un match ce soir...

Sébastien Keller

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DCD
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar DCD » 18 déc. 2009, 10:20

Je crois que c'est ce soir que leur avenir professionnel ce joue !

(Dit-il un rien dramatique) :siffle:

Séb

« Effrayé par la tournure des événements »

Messagepar Séb » 18 déc. 2009, 10:20

Visiblement éprouvé par les ahurissants rebondissements de ces dernières heures, Julien Fournier a tenu, hier soir, à livrer sa version des faits. Les propos du PDG du Racing, teintés à la fois de sincérité et d'amertume, sont proprement édifiants.

Êtes-vous toujours le président du Racing, deux semaines tout juste après votre prise de fonction ?

- A l'heure où je vous parle (hier à 18 h), oui. Mais je ne sais honnêtement pas pour combien de temps. Jusqu'à la trêve ? Peut-être, je ne peux pas vous l'affirmer.

« Au départ, tout était clair »

- L'envie de partir ne manque pas, apparemment...

- Hier (mercredi), j'ai rédigé ma lettre de démission. Elle est encore posée là, sur le bureau. Je ne l'ai pas envoyée, parce qu'il serait irresponsable de claquer la porte maintenant. C'est un devoir de responsabilité. Je m'en tiens juste à ma ligne de conduite, dictée par la loyauté et le respect.


- Comment vous êtes-vous laissé embarquer dans pareille galère ?


- Au départ, tout était clair. Après avoir quitté l'OM (en juin dernier), j'ai été contacté par un avocat genevois, en l'occurrence Me Isenegger, au service d'un client qui s'appelait Roman Loban. Ce dernier était en discussion avec Philippe Ginestet pour reprendre le Racing. Il cherchait quelqu'un pour gérer le club. Je l'ai rencontré à trois reprises.
Le coeur a répondu par l'affirmative, mais la raison m'a conduit à formuler deux conditions cumulatives : 1. être le responsable opérationnel dans les domaines administratif, juridique, financier et sportif, dans le cadre d'une politique d'actionnariat clairement définie ; 2. être sûr que l'actionnaire soit capable de mener à bien un projet ambitieux pour viser la remontée dans les deux ou trois ans.

- Aviez-vous obtenu toutes les garanties de M. Loban ?

- Oui. J'ai attendu le 4 décembre pour me lier contractuellement au Racing, comme président salarié, après avoir vérifié dans le protocole de vente que l'acheteur avait prévu d'injecter 10 millions d'euros.

- C'est ce même vendredi, devant la presse, que les ennuis ont commencé...

- Le jour de mon intronisation, je comprends qu'un actionnaire supplémentaire entre en scène. Personne ne me l'a dit auparavant. On me parle ensuite de MM. Jafar (Hilali) et Cornelie, employés par la société Carousel Finance qui représente les intérêts de M. Fontenla. Je ne le rencontre pour la première fois que mercredi dernier (le 9 décembre). Et là, j'apprends dans la presse que l'on veut m'adjoindre les services d'un président délégué (M. Cornelie) et d'un conseiller pour le recrutement (M. Isenegger). Mes deux conditions cumulatives ne sont plus réunies.

« Des noms exotiques
qui vaudront des millions »


- Vous êtes pourtant encore confiant, au moment de vous présenter devant la DNCG mardi dernier. Que s'est-il passé entre-temps ?

- La réunion à Paris se passe plutôt bien. Histoire d'éclaircir la situation, je demande ensuite à rencontrer tous les protagonistes. A ma grande surprise, seuls MM. Fontenla et Isenegger sont présents. Je leur fais part de ce qui me gène dans le mode de fonctionnement, mais M. Fontenla me donne encore des assurances verbales.
Ensuite, ils m'exposent leur projet. Et là, les bras m'en tombent. On me dit qu'il faut se séparer immédiatement d'un très grand nombre de joueurs (on parle de 17 pros sur un effectif de 28), leurs remplaçants étant déjà trouvés.
Je découvre des noms plus exotiques les uns que les autres : un Letton, un Moldave, des Ghanéens, etc. Ils me disent que c'est capital pour la valorisation du club.
Leur engagement financier ne se fait donc pas de manière sonnante et trébuchante, mais se base juste sur la spéculation autour de joueurs. Aujourd'hui, on les acquiert pour "zéro" et demain, ils vaudront des millions...

- Quelle est alors votre réaction ?

- A trois reprises, je demande à M. Fontenla : "Que se passe-t-il si je ne les prends pas, vos joueurs ?" Je n'ai pas eu de réponse. Dès lors, mon engagement est remis en cause. Hier (mercredi), je constate que rien n'a changé dans ses conditions. Il est donc hors de question de conserver mon poste. Peut-être pensait-il que je bluffais. Mais je ne me compromettrais pas, ni pour l'argent, ni pour la médiatisation.

- Avez-vous l'impression d'avoir été floué ?

- Pour le moins, oui. Je vis un cauchemar. Je suis effrayé par la tournure des événements. Quand le bateau tangue, il faut sauver ce qui peut l'être, à savoir l'équipe. C'est ce que j'ai dit tout à l'heure aux joueurs : "L'avenir n'est pas dans mes mains, ni dans celles de M. Fontenla ou d'un autre, il est entre vos pieds..."


Propos recueillis par Séb. K.

Séb

Opération survie

Messagepar Séb » 18 déc. 2009, 10:22

Pour ne pas arranger ses affaires, le Racing reçoit Guingamp qui a retrouvé la marche avant. Avant-derniers, les hommes de Pascal Janin sont contraints à un petit exploit, ce soir, à la Meinau, pour remettre un peu de baume au coeur de leurs supporteurs.

Image
Le Racing est sur une série de trois victoires à la Meinau. Pour la poursuivre, Steven Pelé et ses partenaires devront focaliser toutes leurs attentions sur le ballon. (Photo DNA - Laurent Réa)

Il n'y a donc pas qu'une direction pathétique au Racing. Il y a aussi une équipe de foot et on aurait tendance à l'oublier dans le malstrom qui a gagné le club et son équipe qui ne gagne guère. Plutôt que d'affronter des températures ultra-négatives, Lacour, Rodrigo et leurs copains auraient volontiers partagé une raclette avec des amis.
Mais ni le vaudeville en cours depuis quinze jours, ni l'environnement hivernal, bâche de sortie sur la pelouse oblige, n'ont conduit au report de leur 18e rencontre de L 2. Et c'est bien dommage. La perspective d'affronter de fringants Guingampais, tout patraques jusque début novembre, dix points récoltés sur douze depuis, n'a rien de réjouissant.

« Si on commence
à gamberger... »


Pascal Janin avait ainsi bien du mal à s'affranchir du ridicule contexte à l'heure d'évoquer le match, hier. « Là, j'ai été surpris, a relevé le technicien qui se croyait vacciné par les épisodes précédents. L'objectif, maintenant, c'est d'offrir un petit bonheur aux supporteurs ».
Un petit bonheur, ce serait déjà ça que les spéculateurs de tous bords ne leur voleraient pas. En fait, c'est un autre verdict qu'une défaite annoncée en un match où les Strasbourgeois ne sont pas favoris. Mais franchement, il n'y a pas de quoi se montrer optimiste. Le Racing aborde son avant-dernier match de l'année sans ses deux meilleurs joueurs. Il a affiché un niveau de jeu affligeant lors de ses trois derniers matches de championnat. Il a préparé sa rencontre dans les conditions que l'on sait.
Comme un match de foot dépend de pas grand-chose, il faut admettre que les joueurs n'ont pas été placés dans les meilleures conditions pour relever la tête et s'affranchir d'une place de relégable, occupée depuis la mi-août. Ceux que l'on accuse d'être trop payés ou enclins à jouer aux mercenaires ont affiché une forme de dignité dans la tempête.
Il s'agira de la montrer tout à l'heure. « On est là pour jouer au foot, tente de rassurer Yassine Bezzaz, et le coach fait bien son travail. Il est essentiel de se concentrer sur le terrain parce que si on commence à gamberger... »
S'il y a quelques raisons de laisser son esprit filer aux frontières du rectangle vert, Janin garantit que « le match de Guingamp qui (lui) prend la tête » constitue son principal horizon. Néanmoins, il ne peut s'empêcher de poursuivre sa réflexion en s'affirmant « convaincu que les Alsaciens ne laisseront pas tomber le Racing » en anticipant un éventuel plan de reprise.

« Trouver les mots »


Il sera d'autant plus aisé à constituer en redonnant un peu de clinquant à une situation sportive mal embarquée. « Je dois trouver les mots pour tirer profit de la situation », finit par espérer l'intérimaire dont la mission n'en finit pas de durer.
Et il est vrai comme on a vu le feu rejaillir souvent de l'ancien volcan que l'on croyait trop vieux, certaines équipes inspirant plein de pitié ont su surprendre. Dans l'histoire récente, l'OM a pu arracher un nul au Parc avec son équipe réserve (mars 2006) et Colmar donner une jolie leçon de foot à Monaco, en janvier 2006, ou à Metz la semaine dernière.
Il n'est pas interdit au Racing, même amoindri, même inquiet, même en short en plein hiver, de faire la nique à la logique. En cette période où il reste fidèle à une chaotique tradition, on se rappellera simplement qu'il reste sur trois victoires d'affilée à la maison. C'est mince mais c'est à peu près tout pour espérer.

François Namur

Séb

Sans les hommes forts

Messagepar Séb » 18 déc. 2009, 10:24

Pascal Janin est en proie à quelques contrariétés pour l'ultime match de l'année à domicile. Avec une absence par ligne, le Racing subit moult aménagements face à Guingamp.

S'il s'agissait d'anticiper la politique surréaliste envisagée par le futur ex-propriétaire du club, on ne s'y serait pas mieux pris. Le Racing est en manque de points dans son championnat. Ce soir, il sera en manque d'hommes pour envisager un match essentiel pour se relancer.
Pascal Janin doit se passer de son meilleur défenseur, Habib Bellaïd, suspendu, de son milieu de terrain le plus technique, Emil Gargorov, et du seul Strasbourgeois qui a marqué depuis deux mois en championnat, Nicolas Fauvergue, lui aussi suspendu. Déjà touché au tendon d'Achille, le Bulgare a déclaré forfait après avoir reçu un coup sur le genou.
S'il n'a pas dévoilé ses intentions, l'entraîneur ne devrait pas modifier ses batteries tactiques, s'appuyant sur le traditionnel 4-2-3-1.

Deroff et Mathis de retour
côté guingampais


Pour combler les cases vides, Milovan Sikimic, à la faveur d'une éventuelle première titularisation depuis trois mois, est favori en défense. Le Serbe a l'avantage de bien connaître la maison guingampaise qu'il a fréquentée pendant cinq saisons.
Sur le front offensif, après avoir inscrit son 8e but de la saison face à Thionville, Magaye Gueye, absent des terrains de L 2 depuis fin octobre en raison d'une pubalgie, devrait occuper le côté gauche. En pointe, en dépit d'un manque de réussite, David Ledy aura sans doute une nouvelle chance.
Il s'agira de ne pas la laisser passer. Car l'En Avant arrive avec des arguments. La bande à Zvunka n'a plus perdu depuis octobre. Un récent match nul concédé face à Sedan (2-2) a à peine entravé sa marche en avant. Du 18e, elle est passée au 12e rang du championnat en quatre matches.
Pour l'échéance du jour, Guingamp récupère une vieille connaissance en Alsace, Yves Deroff, et pourra s'appuyer dans son entrejeu sur le retour de Lionel Mathis.

Fr.N.

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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar DCD » 18 déc. 2009, 10:29

gauloiskiki a écrit :
Je suis pas sur que ce soit pas l'arrivée de ce genre d'énergumènes que le club s'en sortent non plus ...

Les mecs sont juste venu pour essayer de faire du fric et lorsqu'ils ont vu qu'on ne les laisserait pas faire ce qu'ils veulent (Actionnaires minoritaires + DNCG), ils ont mis les voiles sans se soucier du futur du Racing.
Les deux articles suivants ton post, abondent dans ton sens.

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IroOn
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Re: « Effrayé par la tournure des événements »

Messagepar IroOn » 18 déc. 2009, 11:14

Ensuite, ils m'exposent leur projet. Et là, les bras m'en tombent. On me dit qu'il faut se séparer immédiatement d'un très grand nombre de joueurs (on parle de 17 pros sur un effectif de 28), leurs remplaçants étant déjà trouvés.
Je découvre des noms plus exotiques les uns que les autres : un Letton, un Moldave, des Ghanéens, etc. Ils me disent que c'est capital pour la valorisation du club.
Leur engagement financier ne se fait donc pas de manière sonnante et trébuchante, mais se base juste sur la spéculation autour de joueurs. Aujourd'hui, on les acquiert pour "zéro" et demain, ils vaudront des millions...
Completement hallucinant :gne:

En fait c'est des joueurs de Football Manager les nouveaux actionnaires, après tu récupères Poborsky, Recoba, Roberto Carlos et Higuita en fin de contrat et t'as une équipe de tueurs.


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